Anthropologie du conflit en Guadeloupe. Prolongements, ruptures et variations de la domincation coloniale
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- Nombre de pages250
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.395 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,8 cm
- ISBN978-2-343-14926-4
- EAN9782343149264
- Date de parution21/09/2018
- CollectionLogiques sociales
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Cet ouvrage explore le conflit identitaire antillais dans la Guadeloupe des années 2010. A travers les domaines économique, socioculturel et politique, l'auteure interroge les héritages présents de l'esclavage et de la colonisation malgré les ruptures et changements de contexte. Comment un conflit mis en latence se prolonge, se transforme et investit peu à peu la culture, la société et les identités ? Comment se manifeste-t-il aujourd'hui ? Comment se construisent les identités dans ce contexte ? Déréalisation, racialisation du social, hiérarchisation des cultures, dispersion mémorielle et identitaire, confusion du jeu politique, dépendance globale, " périphérisation" des identités, conception uni-référentielle de l'universel...
Le conflit entre dominants et dominés, faute d'avoir été réglé, est devenu intemporel, global et transversal à cette société. Cet ouvrage propose une réflexion sur les prolongements et les ruptures entre le passé et le présent, sur les relations qu'une société entretient avec son passé et les façons dont elle le réactualise, le transmet, l'oublie, l'instrumentalise, le réinvente pour vivre le présent et se projeter dans l'avenir.
Le conflit entre dominants et dominés, faute d'avoir été réglé, est devenu intemporel, global et transversal à cette société. Cet ouvrage propose une réflexion sur les prolongements et les ruptures entre le passé et le présent, sur les relations qu'une société entretient avec son passé et les façons dont elle le réactualise, le transmet, l'oublie, l'instrumentalise, le réinvente pour vivre le présent et se projeter dans l'avenir.
Cet ouvrage explore le conflit identitaire antillais dans la Guadeloupe des années 2010. A travers les domaines économique, socioculturel et politique, l'auteure interroge les héritages présents de l'esclavage et de la colonisation malgré les ruptures et changements de contexte. Comment un conflit mis en latence se prolonge, se transforme et investit peu à peu la culture, la société et les identités ? Comment se manifeste-t-il aujourd'hui ? Comment se construisent les identités dans ce contexte ? Déréalisation, racialisation du social, hiérarchisation des cultures, dispersion mémorielle et identitaire, confusion du jeu politique, dépendance globale, " périphérisation" des identités, conception uni-référentielle de l'universel...
Le conflit entre dominants et dominés, faute d'avoir été réglé, est devenu intemporel, global et transversal à cette société. Cet ouvrage propose une réflexion sur les prolongements et les ruptures entre le passé et le présent, sur les relations qu'une société entretient avec son passé et les façons dont elle le réactualise, le transmet, l'oublie, l'instrumentalise, le réinvente pour vivre le présent et se projeter dans l'avenir.
Le conflit entre dominants et dominés, faute d'avoir été réglé, est devenu intemporel, global et transversal à cette société. Cet ouvrage propose une réflexion sur les prolongements et les ruptures entre le passé et le présent, sur les relations qu'une société entretient avec son passé et les façons dont elle le réactualise, le transmet, l'oublie, l'instrumentalise, le réinvente pour vivre le présent et se projeter dans l'avenir.
