Anthropologie des Indiens Ashéninka d'Amazonie. Nos soeurs Manioc et l'étranger Jaguar
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- Nombre de pages273
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.335 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,5 cm
- ISBN2-7475-7832-1
- EAN9782747578325
- Date de parution02/02/2005
- CollectionRecherches Amériques latines
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierPatrick Menget
Résumé
Qu'est-ce qu'une plante, qu'est-ce qu'un animal aux yeux d'un indigène amazonien ? Ce que l'on sait d'eux y est-il perçu, organisé et transmis de la même façon que chez nous ? D'après les données recueillies chez les Indiens Ashéninka, à la frontière du Brésil et du Pérou, bien des idées reçues sont à revoir. Pour certaines, c'était assez prévisible : les savoirs indigènes n'ont par exemple rien d'un "trésor ancestral" stable.
comme parfois on le croit encore. D'autres soulèvent des questions beaucoup plus troublantes pour les sciences cognitives ou l'anthropologie appliquée : malgré l'universalité du cerveau humain, les perceptions les plus immédiates des Ashéninka semblent remodelées par leurs croyances ontologiques : littéralement, ils ne voient pas les plantes et les animaux comme nous.
comme parfois on le croit encore. D'autres soulèvent des questions beaucoup plus troublantes pour les sciences cognitives ou l'anthropologie appliquée : malgré l'universalité du cerveau humain, les perceptions les plus immédiates des Ashéninka semblent remodelées par leurs croyances ontologiques : littéralement, ils ne voient pas les plantes et les animaux comme nous.
Qu'est-ce qu'une plante, qu'est-ce qu'un animal aux yeux d'un indigène amazonien ? Ce que l'on sait d'eux y est-il perçu, organisé et transmis de la même façon que chez nous ? D'après les données recueillies chez les Indiens Ashéninka, à la frontière du Brésil et du Pérou, bien des idées reçues sont à revoir. Pour certaines, c'était assez prévisible : les savoirs indigènes n'ont par exemple rien d'un "trésor ancestral" stable.
comme parfois on le croit encore. D'autres soulèvent des questions beaucoup plus troublantes pour les sciences cognitives ou l'anthropologie appliquée : malgré l'universalité du cerveau humain, les perceptions les plus immédiates des Ashéninka semblent remodelées par leurs croyances ontologiques : littéralement, ils ne voient pas les plantes et les animaux comme nous.
comme parfois on le croit encore. D'autres soulèvent des questions beaucoup plus troublantes pour les sciences cognitives ou l'anthropologie appliquée : malgré l'universalité du cerveau humain, les perceptions les plus immédiates des Ashéninka semblent remodelées par leurs croyances ontologiques : littéralement, ils ne voient pas les plantes et les animaux comme nous.