Anthropolitiques. Jean-Loup Amselle, une pensée sans concessions
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- Nombre de pages368
- PrésentationBroché
- Poids0.59 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-8111-1269-1
- EAN9782811112691
- Date de parution26/01/2015
- CollectionHommes et Sociétés
- ÉditeurKarthala
Résumé
L’anthropologie de Jean-Loup Amselle se distingue par son attention constante à l’histoire et par sa conception pragmatique des identités comme résultantes de rapports de force toujours susceptibles d’être modifiés. On lui doit la déconstruction des catégories d’«ethnie» et de «métissage», une critique acerbe de l’ethnologie coloniale, de l’idéologie républicaine et de leurs raciologies conjointes, mais également l’élaboration de cadres conceptuels nouveaux.
Sa théorie des «branchements» – ou toutes les dérivations opérées à partir d’un réseau, ainsi que les torsions et emprunts latéraux entre divers «lieux de la culture», toujours en tension relationnelle les uns avec les autres – présente ainsi une alternative féconde aux théories postcoloniales de la polarisation et de l’hybridité. Cet ouvrage s’attache à mettre en relief la profonde cohérence d’une oeuvre qui a constamment remis en question les découpages ethniques ou communautaristes des corps sociaux et politiques, ainsi que les partitions disciplinaires entre anthropologie, sociologie, histoire de l’art, linguistique et études littéraires.
De plus, on trouvera à la fin de chaque contribution les réponses de Jean-Loup Amselle à celles-ci. Il contient enfin quatre nouveaux essais de l’auteur. Professeur de littératures francophones à l’Université de Strasbourg, Anthony Mangeon a enseigné aux Universités de Stanford (Californie), de Cergy-Pontoise et de Paul-Valéry Montpellier (France). Il est l’auteur ou le directeur de plusieurs ouvrages, dont La Pensée noire et l’Occident (Sulliver, 2010) et Postures postcoloniales (Karthala - MSH-M, 2012).
Directeur d’études à l’EHESS et rédacteur en chef des Cahiers d’études africaines, Jean-Loup Amselle est l’auteur de nombreux ouvrages dont Logiques métisses (1990), Branchements (2001), L’Occident décroché (2008), Rétrovolutions (2010), L’ethnicisation de la France (2011), L’anthropologue et le politique (2012), Psychotropiques (2013), et dernièrement Les Nouveaux Rouges-Bruns (2014).
Sa théorie des «branchements» – ou toutes les dérivations opérées à partir d’un réseau, ainsi que les torsions et emprunts latéraux entre divers «lieux de la culture», toujours en tension relationnelle les uns avec les autres – présente ainsi une alternative féconde aux théories postcoloniales de la polarisation et de l’hybridité. Cet ouvrage s’attache à mettre en relief la profonde cohérence d’une oeuvre qui a constamment remis en question les découpages ethniques ou communautaristes des corps sociaux et politiques, ainsi que les partitions disciplinaires entre anthropologie, sociologie, histoire de l’art, linguistique et études littéraires.
De plus, on trouvera à la fin de chaque contribution les réponses de Jean-Loup Amselle à celles-ci. Il contient enfin quatre nouveaux essais de l’auteur. Professeur de littératures francophones à l’Université de Strasbourg, Anthony Mangeon a enseigné aux Universités de Stanford (Californie), de Cergy-Pontoise et de Paul-Valéry Montpellier (France). Il est l’auteur ou le directeur de plusieurs ouvrages, dont La Pensée noire et l’Occident (Sulliver, 2010) et Postures postcoloniales (Karthala - MSH-M, 2012).
Directeur d’études à l’EHESS et rédacteur en chef des Cahiers d’études africaines, Jean-Loup Amselle est l’auteur de nombreux ouvrages dont Logiques métisses (1990), Branchements (2001), L’Occident décroché (2008), Rétrovolutions (2010), L’ethnicisation de la France (2011), L’anthropologue et le politique (2012), Psychotropiques (2013), et dernièrement Les Nouveaux Rouges-Bruns (2014).
L’anthropologie de Jean-Loup Amselle se distingue par son attention constante à l’histoire et par sa conception pragmatique des identités comme résultantes de rapports de force toujours susceptibles d’être modifiés. On lui doit la déconstruction des catégories d’«ethnie» et de «métissage», une critique acerbe de l’ethnologie coloniale, de l’idéologie républicaine et de leurs raciologies conjointes, mais également l’élaboration de cadres conceptuels nouveaux.
Sa théorie des «branchements» – ou toutes les dérivations opérées à partir d’un réseau, ainsi que les torsions et emprunts latéraux entre divers «lieux de la culture», toujours en tension relationnelle les uns avec les autres – présente ainsi une alternative féconde aux théories postcoloniales de la polarisation et de l’hybridité. Cet ouvrage s’attache à mettre en relief la profonde cohérence d’une oeuvre qui a constamment remis en question les découpages ethniques ou communautaristes des corps sociaux et politiques, ainsi que les partitions disciplinaires entre anthropologie, sociologie, histoire de l’art, linguistique et études littéraires.
De plus, on trouvera à la fin de chaque contribution les réponses de Jean-Loup Amselle à celles-ci. Il contient enfin quatre nouveaux essais de l’auteur. Professeur de littératures francophones à l’Université de Strasbourg, Anthony Mangeon a enseigné aux Universités de Stanford (Californie), de Cergy-Pontoise et de Paul-Valéry Montpellier (France). Il est l’auteur ou le directeur de plusieurs ouvrages, dont La Pensée noire et l’Occident (Sulliver, 2010) et Postures postcoloniales (Karthala - MSH-M, 2012).
Directeur d’études à l’EHESS et rédacteur en chef des Cahiers d’études africaines, Jean-Loup Amselle est l’auteur de nombreux ouvrages dont Logiques métisses (1990), Branchements (2001), L’Occident décroché (2008), Rétrovolutions (2010), L’ethnicisation de la France (2011), L’anthropologue et le politique (2012), Psychotropiques (2013), et dernièrement Les Nouveaux Rouges-Bruns (2014).
Sa théorie des «branchements» – ou toutes les dérivations opérées à partir d’un réseau, ainsi que les torsions et emprunts latéraux entre divers «lieux de la culture», toujours en tension relationnelle les uns avec les autres – présente ainsi une alternative féconde aux théories postcoloniales de la polarisation et de l’hybridité. Cet ouvrage s’attache à mettre en relief la profonde cohérence d’une oeuvre qui a constamment remis en question les découpages ethniques ou communautaristes des corps sociaux et politiques, ainsi que les partitions disciplinaires entre anthropologie, sociologie, histoire de l’art, linguistique et études littéraires.
De plus, on trouvera à la fin de chaque contribution les réponses de Jean-Loup Amselle à celles-ci. Il contient enfin quatre nouveaux essais de l’auteur. Professeur de littératures francophones à l’Université de Strasbourg, Anthony Mangeon a enseigné aux Universités de Stanford (Californie), de Cergy-Pontoise et de Paul-Valéry Montpellier (France). Il est l’auteur ou le directeur de plusieurs ouvrages, dont La Pensée noire et l’Occident (Sulliver, 2010) et Postures postcoloniales (Karthala - MSH-M, 2012).
Directeur d’études à l’EHESS et rédacteur en chef des Cahiers d’études africaines, Jean-Loup Amselle est l’auteur de nombreux ouvrages dont Logiques métisses (1990), Branchements (2001), L’Occident décroché (2008), Rétrovolutions (2010), L’ethnicisation de la France (2011), L’anthropologue et le politique (2012), Psychotropiques (2013), et dernièrement Les Nouveaux Rouges-Bruns (2014).