Quand on s’appelle Murail, on peut se permettre tous les culots.
Dont celui de situer l’action de son roman en 2020, en cette période inédite et complètement folle d’épidémie de Covid..
Comme si la population n’en avait pas assez « mangé » pendant des mois, à toutes les sauces, H24 !
Que les fans du clan Murail se rassurent, le scénario « béton », la fantaisie, l’humour, le rythme soutenu, la galerie de personnages qu’on a (une fois de plus!) du mal à quitter , les situations ubuesques, tout est là pour leur faire passer un sacré moment de lecture, de ceux qui donnent l’irrépressible envie de tourner les pages sans s’arrêter, le sourire aux lèvres, et le coeur en fête, même si l’histoire est jalonnée de disparitions inquiétantes, de cadavres bien abîmés, et de quelques personnages malfaisants.
Le Havre, les docks, Augustin et Angie sans oublier Capitaine vont devenir le temps de ces 440 pages votre moment de détente privilégié et...jouissif !
Quand on s’appelle Murail, on peut se permettre tous les culots.
Dont celui de situer l’action de son roman en 2020, en cette période inédite et complètement folle d’épidémie de Covid..
Comme si la population n’en avait pas assez « mangé » pendant des mois, à toutes les sauces, H24 !
Que les fans du clan Murail se rassurent, le scénario « béton », la fantaisie, l’humour, le rythme soutenu, la galerie de personnages qu’on a (une fois de plus!) du mal à quitter , les situations ubuesques, tout est là pour leur faire passer un sacré moment de lecture, de ceux qui donnent l’irrépressible envie de tourner les pages sans s’arrêter, le sourire aux lèvres, et le coeur en fête, même si l’histoire est jalonnée de disparitions inquiétantes, de cadavres bien abîmés, et de quelques personnages malfaisants.
Le Havre, les docks, Augustin et Angie sans oublier Capitaine vont devenir le temps de ces 440 pages votre moment de détente privilégié et...jouissif !