André Charlier, le prix d'une oeuvre
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- Nombre de pages572
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.892 kg
- Dimensions20,0 cm × 20,0 cm × 2,5 cm
- ISBN978-2-37288-022-0
- EAN9782372880220
- Date de parution13/09/2019
- ÉditeurSainte-Madeleine
- PréfacierAntoine de Lévis-Mirepoix
Résumé
Après avoir été blessé et fait prisonnier en Allemagne pendant la première guerre mondiale, André Charlier se tourna finalement vers l'enseignement. Devenu Directeur de l'Ecole des Roches de Maslacq, transférée ensuite à Clères, sa grande oeuvre sera la formation de la jeunesse. Son ami Paul Claudel voit en Charlier, beaucoup plus qu'un éducateur, un maître spirituel : "le maître idéal suivant l'Esprit de Dieu et le coeur chrétien" .
Et Monseigneur Henri Brincard résume ainsi cette oeuvre de formation de la jeunesse : "un élan de toute l'âme vers la Lumière" . John Keith, un jeune américain venu étudier pendant quelques mois à Clères, confiait y avoir trouvé "une Ecole simple et non pas prétentieuse" , où l'on se "trouve face à face avec Dieu" . L'instrument de cette rencontre avec Dieu était André Charlier lui-même, comme Antoine de Lévis Mirepoix l'explique dans la Préface.
Mais cette oeuvre exigea d'André Charlier qu'il renonce, après la mort de sa première femme en 1940, à redonner un véritable foyer à ses propres filles, sacrifice douloureux à son coeur de père et sur lequel il revient souvent dans le Journal qu'il écrivit à leur intention : "Vous avez eu [ à Maslacq ] une vie fort agréable en somme, et je pense qu'elle restera pour vous comme un beau souvenir. Pas un vrai foyer sans doute, mais qu'y puis-je ? J'ai dû sacrifier cela à l'Ecole, et ce n'est pas moi qui ai voulu assumer cette charge" .
Par ces sacrifices librement consentis, André Charlier fut un "témoin de l'Eternel" , comme il se définit lui-même. Son ami Gustave Thibon l'avait compris, qui lui écrivait : "Je pense souvent, très souvent à vous comme à l'un des derniers témoins des choses qui demeurent". C'est ce témoignage de toute une vie que nous livre cette première biographie d'André Charlier.
Et Monseigneur Henri Brincard résume ainsi cette oeuvre de formation de la jeunesse : "un élan de toute l'âme vers la Lumière" . John Keith, un jeune américain venu étudier pendant quelques mois à Clères, confiait y avoir trouvé "une Ecole simple et non pas prétentieuse" , où l'on se "trouve face à face avec Dieu" . L'instrument de cette rencontre avec Dieu était André Charlier lui-même, comme Antoine de Lévis Mirepoix l'explique dans la Préface.
Mais cette oeuvre exigea d'André Charlier qu'il renonce, après la mort de sa première femme en 1940, à redonner un véritable foyer à ses propres filles, sacrifice douloureux à son coeur de père et sur lequel il revient souvent dans le Journal qu'il écrivit à leur intention : "Vous avez eu [ à Maslacq ] une vie fort agréable en somme, et je pense qu'elle restera pour vous comme un beau souvenir. Pas un vrai foyer sans doute, mais qu'y puis-je ? J'ai dû sacrifier cela à l'Ecole, et ce n'est pas moi qui ai voulu assumer cette charge" .
Par ces sacrifices librement consentis, André Charlier fut un "témoin de l'Eternel" , comme il se définit lui-même. Son ami Gustave Thibon l'avait compris, qui lui écrivait : "Je pense souvent, très souvent à vous comme à l'un des derniers témoins des choses qui demeurent". C'est ce témoignage de toute une vie que nous livre cette première biographie d'André Charlier.
Après avoir été blessé et fait prisonnier en Allemagne pendant la première guerre mondiale, André Charlier se tourna finalement vers l'enseignement. Devenu Directeur de l'Ecole des Roches de Maslacq, transférée ensuite à Clères, sa grande oeuvre sera la formation de la jeunesse. Son ami Paul Claudel voit en Charlier, beaucoup plus qu'un éducateur, un maître spirituel : "le maître idéal suivant l'Esprit de Dieu et le coeur chrétien" .
Et Monseigneur Henri Brincard résume ainsi cette oeuvre de formation de la jeunesse : "un élan de toute l'âme vers la Lumière" . John Keith, un jeune américain venu étudier pendant quelques mois à Clères, confiait y avoir trouvé "une Ecole simple et non pas prétentieuse" , où l'on se "trouve face à face avec Dieu" . L'instrument de cette rencontre avec Dieu était André Charlier lui-même, comme Antoine de Lévis Mirepoix l'explique dans la Préface.
Mais cette oeuvre exigea d'André Charlier qu'il renonce, après la mort de sa première femme en 1940, à redonner un véritable foyer à ses propres filles, sacrifice douloureux à son coeur de père et sur lequel il revient souvent dans le Journal qu'il écrivit à leur intention : "Vous avez eu [ à Maslacq ] une vie fort agréable en somme, et je pense qu'elle restera pour vous comme un beau souvenir. Pas un vrai foyer sans doute, mais qu'y puis-je ? J'ai dû sacrifier cela à l'Ecole, et ce n'est pas moi qui ai voulu assumer cette charge" .
Par ces sacrifices librement consentis, André Charlier fut un "témoin de l'Eternel" , comme il se définit lui-même. Son ami Gustave Thibon l'avait compris, qui lui écrivait : "Je pense souvent, très souvent à vous comme à l'un des derniers témoins des choses qui demeurent". C'est ce témoignage de toute une vie que nous livre cette première biographie d'André Charlier.
Et Monseigneur Henri Brincard résume ainsi cette oeuvre de formation de la jeunesse : "un élan de toute l'âme vers la Lumière" . John Keith, un jeune américain venu étudier pendant quelques mois à Clères, confiait y avoir trouvé "une Ecole simple et non pas prétentieuse" , où l'on se "trouve face à face avec Dieu" . L'instrument de cette rencontre avec Dieu était André Charlier lui-même, comme Antoine de Lévis Mirepoix l'explique dans la Préface.
Mais cette oeuvre exigea d'André Charlier qu'il renonce, après la mort de sa première femme en 1940, à redonner un véritable foyer à ses propres filles, sacrifice douloureux à son coeur de père et sur lequel il revient souvent dans le Journal qu'il écrivit à leur intention : "Vous avez eu [ à Maslacq ] une vie fort agréable en somme, et je pense qu'elle restera pour vous comme un beau souvenir. Pas un vrai foyer sans doute, mais qu'y puis-je ? J'ai dû sacrifier cela à l'Ecole, et ce n'est pas moi qui ai voulu assumer cette charge" .
Par ces sacrifices librement consentis, André Charlier fut un "témoin de l'Eternel" , comme il se définit lui-même. Son ami Gustave Thibon l'avait compris, qui lui écrivait : "Je pense souvent, très souvent à vous comme à l'un des derniers témoins des choses qui demeurent". C'est ce témoignage de toute une vie que nous livre cette première biographie d'André Charlier.

