Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
André Bain a été, jusqu'à sa mort en 1958, considéré par beaucoup comme. le " plus grand critique cinématographique de notre temps ". Mais il est...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 1 octobre et le 2 octobre
En librairie
Résumé
André Bain a été, jusqu'à sa mort en 1958, considéré par beaucoup comme. le " plus grand critique cinématographique de notre temps ". Mais il est aussi celui qui a porté la Critique au niveau de la théorie. Il écrit à la fois dans Esprit et dans Les lettres françaises, dans Le Parisien Libéré et dans l'Observateur. Il est aussi le fondateur des Cahiers du Cinéma. Peut-on dire pour autant qu'il édifie une théorie ? Les choses ne sont pus aussi simples. Passer, entre 1913 et 1958, de la critique à la théorie était, dans ces années de guerre et d'après-guerre, une entreprise qui demandait qu'on eût le goût du risque. Frayer son chemin à travers les philosophies de ce temps, les thèses marxistes ou la diversité des esthétiques, représentait une véritable aventure pour l'esprit. Bazin s'y hasarde en posant les éléments d'une théorie possible dont il recueille les éléments dans la critique, la théorie et la philosophie de son temps pour les organiser en un ensemble cohérent.
C'est cette généalogie qu'il s'agissait de reconstituer en retrouvant les marques laissées par Bazin dans ses propres textes.