Amsterdam Global Village de Johan ven det Keuken. Ecriture, forme et cinéma direct

Par : Aurélien Py

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  • Nombre de pages106
  • PrésentationBroché
  • Poids0.15 kg
  • Dimensions12,0 cm × 17,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN2-87340-203-2
  • EAN9782873402037
  • Date de parution03/05/2006
  • CollectionCôté films
  • ÉditeurYellow now

Résumé

Johan van der Keuken a porté sur le monde un regard d'une justesse et d'une vigueur exemplaires, repoussant sans cesse les limites entre documentaire et fiction, reportage et journal intime. S'il est parvenu à la reconnaissance la plus large comme documentariste, modèle exemplaire d'un genre en pleine explosion, il ne faut pas négliger la singularité de sa démarche et l'importance du travail de la forme. Au sein d'une œuvre filmée toujours plus élaborée, les expérimentations d'Amsterdam Global Village sont menées à un tel degré de subtilité qu'elles sont moins immédiatement perceptibles. Cet essai est une plongée dans la profondeur de ce travail, à partir de la genèse du film - scénario, tournage, montage. Soit " le hasard provoqué ", " la fiction du pauvre " et " la forme qui pense ". Mais van der Keuken était photographe avant d'être homme à la caméra et l'obsession photographique reste toujours une donnée fondamentale de son cinéma.
Johan van der Keuken a porté sur le monde un regard d'une justesse et d'une vigueur exemplaires, repoussant sans cesse les limites entre documentaire et fiction, reportage et journal intime. S'il est parvenu à la reconnaissance la plus large comme documentariste, modèle exemplaire d'un genre en pleine explosion, il ne faut pas négliger la singularité de sa démarche et l'importance du travail de la forme. Au sein d'une œuvre filmée toujours plus élaborée, les expérimentations d'Amsterdam Global Village sont menées à un tel degré de subtilité qu'elles sont moins immédiatement perceptibles. Cet essai est une plongée dans la profondeur de ce travail, à partir de la genèse du film - scénario, tournage, montage. Soit " le hasard provoqué ", " la fiction du pauvre " et " la forme qui pense ". Mais van der Keuken était photographe avant d'être homme à la caméra et l'obsession photographique reste toujours une donnée fondamentale de son cinéma.