Amable de Baudus. Des services secrets de Talleyrand à la direction de la Censure sous Louis XVIII

Par : Florence de Baudus

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  • Nombre de pages374
  • PrésentationBroché
  • Poids0.59 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,0 cm
  • ISBN978-2-901952-88-6
  • EAN9782901952886
  • Date de parution01/01/2012
  • CollectionKronos
  • ÉditeurSPM-Lettrage

Résumé

Comme tant d'hommes de sa génération, Amable de Baudus, dont les pères depuis des siècles tissaient une chaîne respectable de magistrats à Cahors, se retrouve émigré au coeur de l'Europe, où il fonde Le Spectateur du Nord, journal apprécié par les hommes les plus influents, dont Chateaubriand, et surtout Talleyrand qui l'attache à son ministère. Viennent les années napolitaines pendant lesquelles, à la demande de son compatriote Murat, il prend en main l'éducation du jeune prince Achille.
Sous la Restauration, Amable dirige le bureau de censure. Ce travail ingrat, qu'il détestait, a empoisonné les dernières années de sa vie. Il ne l'a accompli que par son sens du devoir et l'affection profonde qui le liait à Richelieu. Un monceau de documents familiaux forme la matière première de ce livre, des milliers de lettres signées de personnages inconnus ou illustres. Ces documents sont complétés par la correspondance abondante d'Amable aux Archives des Affaires étrangères.
Dans ces années agitées où les noeuds de fidélité se faisaient et se défaisaient sans cesse, Amable n'a pas perdu le cap. Cette existence qu'il n'aurait jamais imaginée vivre ne l'a pas empêché de devenir ce qu'il était appelé à être : un homme d'honneur, un chef de famille, un chrétien. A son contact, l'auteur a acquis la certitude que l'héritage Baudus n'était pas de l'avoir mais de l'être, et que c'était important de l'écrire.
Comme tant d'hommes de sa génération, Amable de Baudus, dont les pères depuis des siècles tissaient une chaîne respectable de magistrats à Cahors, se retrouve émigré au coeur de l'Europe, où il fonde Le Spectateur du Nord, journal apprécié par les hommes les plus influents, dont Chateaubriand, et surtout Talleyrand qui l'attache à son ministère. Viennent les années napolitaines pendant lesquelles, à la demande de son compatriote Murat, il prend en main l'éducation du jeune prince Achille.
Sous la Restauration, Amable dirige le bureau de censure. Ce travail ingrat, qu'il détestait, a empoisonné les dernières années de sa vie. Il ne l'a accompli que par son sens du devoir et l'affection profonde qui le liait à Richelieu. Un monceau de documents familiaux forme la matière première de ce livre, des milliers de lettres signées de personnages inconnus ou illustres. Ces documents sont complétés par la correspondance abondante d'Amable aux Archives des Affaires étrangères.
Dans ces années agitées où les noeuds de fidélité se faisaient et se défaisaient sans cesse, Amable n'a pas perdu le cap. Cette existence qu'il n'aurait jamais imaginée vivre ne l'a pas empêché de devenir ce qu'il était appelé à être : un homme d'honneur, un chef de famille, un chrétien. A son contact, l'auteur a acquis la certitude que l'héritage Baudus n'était pas de l'avoir mais de l'être, et que c'était important de l'écrire.
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