Altérations paysagères. Pour une théorie critique de l’espace public

Par : Denis Delbaere
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  • Nombre de pages224
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.31 kg
  • Dimensions14,1 cm × 22,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-86364-414-0
  • EAN9782863644140
  • Date de parution18/03/2021
  • CollectionLa nécessité du paysage
  • ÉditeurParenthèses Editions

Résumé

Si la conception d'un projet paysager peut être connue et documentée, il n'en va pas de même de ses transformations sous l'action du temps. C'est dans ce vide critique et analytique que s'inscrit cet ouvrage. S'ouvrant sur le récit d'un projet qui permet de se familiariser avec la production ordinaire d'un espace public, il se poursuit par sept études de cas qui illustrent chacune un item d'une grammaire de l'altération : la ruine, l'île, le socle, la fondation, le bois, le germe et le pôle.
Grâce à l'exposition d'un cadre théorique susceptible de hiérarchiser cette série de données, l'auteur révèle comment, à travers l'altération, les dynamiques internes du terrain initial reconfigurent l'espace aménagé. Comme si, par le flux et le reflux du projet, c'était finalement le site qui advenait à lui-même. Le projet de paysage peut donc, par ses errements, devenir le vecteur d'une écologie concrète de l'espace habité comme support d'une nouvelle théorie critique de l'espace public.
Si la conception d'un projet paysager peut être connue et documentée, il n'en va pas de même de ses transformations sous l'action du temps. C'est dans ce vide critique et analytique que s'inscrit cet ouvrage. S'ouvrant sur le récit d'un projet qui permet de se familiariser avec la production ordinaire d'un espace public, il se poursuit par sept études de cas qui illustrent chacune un item d'une grammaire de l'altération : la ruine, l'île, le socle, la fondation, le bois, le germe et le pôle.
Grâce à l'exposition d'un cadre théorique susceptible de hiérarchiser cette série de données, l'auteur révèle comment, à travers l'altération, les dynamiques internes du terrain initial reconfigurent l'espace aménagé. Comme si, par le flux et le reflux du projet, c'était finalement le site qui advenait à lui-même. Le projet de paysage peut donc, par ses errements, devenir le vecteur d'une écologie concrète de l'espace habité comme support d'une nouvelle théorie critique de l'espace public.