Aloïs, mon amour !. Journal d'Alzheimer
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages348
- PrésentationBroché
- Poids0.55 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,5 cm
- ISBN978-2-343-10923-7
- EAN9782343109237
- Date de parution01/11/2016
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Après avoir livré témoignage de l'Alzheimer de sa mère, complété par un essai sociologique détaillant la genèse de ce qu'il qualifie une soi-disant maladie, l'auteur dévoile ici le journal tenu pendant une douzaine d'années initiatiques d'accompagnement de cet Alzheimer devenu intime. Il n'est pas question ici uniquement du vieillissement cérébral problématique, ce qu'est vraiment l'Alzheimer, mais plus largement de la maladie psychosociologique, qualifiée d'Alzheimer politique, au sens étymologique du mot "polis", dont souffrent nos sociétés et le monde en une crise bien plus axiologique qu'économique.
Ce journal est donc une chronique d'un monde fini, à la dérive et désorienté spatiotemporellement, ayant plus que jamais besoin d'une science du coeur pour le sauver, de l'amour qui est le seul salut de l'humanité de ce qui la menace en ce début de siècle de tous les périls.
Ce journal est donc une chronique d'un monde fini, à la dérive et désorienté spatiotemporellement, ayant plus que jamais besoin d'une science du coeur pour le sauver, de l'amour qui est le seul salut de l'humanité de ce qui la menace en ce début de siècle de tous les périls.
Après avoir livré témoignage de l'Alzheimer de sa mère, complété par un essai sociologique détaillant la genèse de ce qu'il qualifie une soi-disant maladie, l'auteur dévoile ici le journal tenu pendant une douzaine d'années initiatiques d'accompagnement de cet Alzheimer devenu intime. Il n'est pas question ici uniquement du vieillissement cérébral problématique, ce qu'est vraiment l'Alzheimer, mais plus largement de la maladie psychosociologique, qualifiée d'Alzheimer politique, au sens étymologique du mot "polis", dont souffrent nos sociétés et le monde en une crise bien plus axiologique qu'économique.
Ce journal est donc une chronique d'un monde fini, à la dérive et désorienté spatiotemporellement, ayant plus que jamais besoin d'une science du coeur pour le sauver, de l'amour qui est le seul salut de l'humanité de ce qui la menace en ce début de siècle de tous les périls.
Ce journal est donc une chronique d'un monde fini, à la dérive et désorienté spatiotemporellement, ayant plus que jamais besoin d'une science du coeur pour le sauver, de l'amour qui est le seul salut de l'humanité de ce qui la menace en ce début de siècle de tous les périls.