Algérie, souvenirs d'ombre et de lumière. De la guerre d'indépendance à l'exode des pieds-noirs en 1962

Par : Jean-Pierre Cômes

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages268
  • PrésentationBroché
  • Poids0.45 kg
  • Dimensions15,6 cm × 23,9 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-296-56970-6
  • EAN9782296569706
  • Date de parution01/03/2012
  • CollectionMémoires du XXe siècle
  • ÉditeurL'Harmattan
  • PréfacierJean-Charles Jauffret

Résumé

Durant quatre années, Jean-Pierre Cômes a pris part à la guerre d'Algérie dans deux régiments parachutistes, mais aussi, durant quinze mois, au DOP de Sétif, l'un de ces organismes ayant pour mission d'obtenir des renseignements par tous les moyens, torture et exécutions sommaires. Là, il a pris le risque de refuser d'obéir et de participer à des actes qu'il considérait comme une faute non seulement morale, mais aussi politique, refus pour lequel ses supérieurs ont tenté de le faire éliminer.
Ainsi il a pu et su voir la situation évoluer pour aboutir à la Toussaint sanglante, puis tout au long de cette guerre, jusqu'au cessez-le-feu. Témoin privilégié, il a voulu apporter son témoignage alors qu'arrive le cinquantième anniversaire de l'indépendance de l'Algérie, témoignage à propos duquel le professeur Jean-Charles Jauffret, historien, directeur de master à l'Institut d'études politiques d'Aix-en- Provence, lui a écrit : "Je le considère comme l'un des plus forts (et atypiques) jamais consacrés à cette guerre.
Votre livre qui m'a beaucoup appris, notamment sur la nuit du 25 au 26 mars 1962, devrait être au programme de l'Ecole spéciale militaire de Saint-Cyr..."En effet, il apporte un éclairage particulièrement intéressant sur la fusillade de la rue d'Isly : Jean-Pierre Cômes avait passé la nuit précédente dans Alger, à la tête d'une compagnie du 3e RPIM a qui y avait été déployée dans la perspective de la manifestation prévue le 26 mars, à l'instigation de l'OAS, mais le commandement décida de le relever pour le remplacer en catastrophe par un bataillon de tirailleurs algériens, et ce fut le drame.
Durant quatre années, Jean-Pierre Cômes a pris part à la guerre d'Algérie dans deux régiments parachutistes, mais aussi, durant quinze mois, au DOP de Sétif, l'un de ces organismes ayant pour mission d'obtenir des renseignements par tous les moyens, torture et exécutions sommaires. Là, il a pris le risque de refuser d'obéir et de participer à des actes qu'il considérait comme une faute non seulement morale, mais aussi politique, refus pour lequel ses supérieurs ont tenté de le faire éliminer.
Ainsi il a pu et su voir la situation évoluer pour aboutir à la Toussaint sanglante, puis tout au long de cette guerre, jusqu'au cessez-le-feu. Témoin privilégié, il a voulu apporter son témoignage alors qu'arrive le cinquantième anniversaire de l'indépendance de l'Algérie, témoignage à propos duquel le professeur Jean-Charles Jauffret, historien, directeur de master à l'Institut d'études politiques d'Aix-en- Provence, lui a écrit : "Je le considère comme l'un des plus forts (et atypiques) jamais consacrés à cette guerre.
Votre livre qui m'a beaucoup appris, notamment sur la nuit du 25 au 26 mars 1962, devrait être au programme de l'Ecole spéciale militaire de Saint-Cyr..."En effet, il apporte un éclairage particulièrement intéressant sur la fusillade de la rue d'Isly : Jean-Pierre Cômes avait passé la nuit précédente dans Alger, à la tête d'une compagnie du 3e RPIM a qui y avait été déployée dans la perspective de la manifestation prévue le 26 mars, à l'instigation de l'OAS, mais le commandement décida de le relever pour le remplacer en catastrophe par un bataillon de tirailleurs algériens, et ce fut le drame.