Algérie, l'empreinte espagnole. Des immigrés d'Al-Andalus aux expatriés du XXIe siècle

Par : Alfred Salinas

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  • Nombre de pages314
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.492 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,5 cm
  • ISBN978-2-14-026064-3
  • EAN9782140260643
  • Date de parution22/04/2022
  • CollectionHistoire et Perspectives Médit
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

"C'est à l'Espagne que cette terre ressemble le plus" , écrivait Albert Camus en 1947 à propos de l'Algérie, du caractère jouisseur de ses populations et de la beauté de ses rivages. L'histoire de l'Algérie ne peut être pensée indépendamment de son empreinte espagnole qui participe de son identité à travers les nombreux flux migratoires, issus surtout de la péninsule, depuis l'époque d'al-Andalus jusqu'à la Reconquista et la présence française.
Le pays a renvoyé une double image de terre d'asile pour immigrés et d'espace dédié à la colonisation. Tout au long de son passé, les intérêts ont pris le pas sur les passions. En filigrane des rivalités belliqueuses Chrétienté/Islam et Occident/Orient, les échanges marchands ont paradoxalement prospéré entre prétendus ennemis. Au siècle de la mondialisation, l'Espagne demeure ainsi très présente à Oran à travers les vestiges patrimoniaux et la vitalité de ses agents culturels et économiques.
"C'est à l'Espagne que cette terre ressemble le plus" , écrivait Albert Camus en 1947 à propos de l'Algérie, du caractère jouisseur de ses populations et de la beauté de ses rivages. L'histoire de l'Algérie ne peut être pensée indépendamment de son empreinte espagnole qui participe de son identité à travers les nombreux flux migratoires, issus surtout de la péninsule, depuis l'époque d'al-Andalus jusqu'à la Reconquista et la présence française.
Le pays a renvoyé une double image de terre d'asile pour immigrés et d'espace dédié à la colonisation. Tout au long de son passé, les intérêts ont pris le pas sur les passions. En filigrane des rivalités belliqueuses Chrétienté/Islam et Occident/Orient, les échanges marchands ont paradoxalement prospéré entre prétendus ennemis. Au siècle de la mondialisation, l'Espagne demeure ainsi très présente à Oran à travers les vestiges patrimoniaux et la vitalité de ses agents culturels et économiques.