Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Cet ouvrage a été rédigé entre février 1999 et avril 2000. Je l'ai écrit dans l'ordre même des chapitres en suivant le chemin sinueux de mes souvenirs...
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Cet ouvrage a été rédigé entre février 1999 et avril 2000. Je l'ai écrit dans l'ordre même des chapitres en suivant le chemin sinueux de mes souvenirs tels qu'ils s'inscrivent dans la géographie de la ville. Il commence en découvrant la Casbah, il finit dans la Casbah, cœur (au sens physiologique du terme) d'El Djezaïr, d'Alger. Les grilles de lecture s'inscrivent dans plusieurs plans : ma vie à Alger, ma vie d'architecte et les réflexions qui l'ont accompagnée, sur le plan de ma pratique professionnelle, sur le plan des théories de l'architecture et de son enseignement, et Alger, la ville comme je l'ai vue, ce qu'elle est, ce que les architectes et les urbanistes ont voulu en faire ; en accompagnement, les rumeurs parfois étouffées de l'histoire. Alger est ma ville d'adoption. C'est celle que j'aime et que je connais plus que toutes les autres. Elle a été ma vie, avec les amertumes et les bonheurs qui en font le sel.