Dans ce roman écrit entre 1941 et 1943, aux heures les plus sombres de l'histoire de la Grèce moderne, Nikos ? Kazantzaki, presque sexagénaire, dresse le bilan d'une existence placée sous le signe du conflit intérieur et de la quête philo-? sophique. Loin de sa version folklorique popularisée par le film de Cacoyannis et l'interprétation qu'en a donnée Anthony Quinn, l'Alexis Zorba du romancier grec apparaît surtout comme le prétexte à une interrogation sur les formes et le sens de la liberté.
Il préfigure la célèbre épitaphe choisie par son auteur : " Je n'espère rien, je ne crains rien, je suis libre. " " Crois-moi, être un homme, c'est ça : être libre ? ! " Zorba
Dans ce roman écrit entre 1941 et 1943, aux heures les plus sombres de l'histoire de la Grèce moderne, Nikos ? Kazantzaki, presque sexagénaire, dresse le bilan d'une existence placée sous le signe du conflit intérieur et de la quête philo-? sophique. Loin de sa version folklorique popularisée par le film de Cacoyannis et l'interprétation qu'en a donnée Anthony Quinn, l'Alexis Zorba du romancier grec apparaît surtout comme le prétexte à une interrogation sur les formes et le sens de la liberté.
Il préfigure la célèbre épitaphe choisie par son auteur : " Je n'espère rien, je ne crains rien, je suis libre. " " Crois-moi, être un homme, c'est ça : être libre ? ! " Zorba