Alberto Garcia - Alix, artiste de la marge. Photographies et oeuvres vidéographiques (1975 - 2009)
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- Nombre de pages178
- PrésentationBroché
- Poids0.33 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,1 cm
- ISBN978-2-86272-587-1
- EAN9782862725871
- Date de parution23/02/2012
- CollectionLes Scripturales
- ÉditeurPU Saint-Etienne
Résumé
L'oeuvre d'Alberto Garcia-Alix (1956) est empreinte de mélancolie ; elle parle au passé et montre ce qui n'est plus. La conception que l'artiste a de son médium est à mettre en parallèle avec sa façon de vivre au jour le jour parce que sa vie, menacée par la drogue et la maladie, est précaire. En s'intéressant à son entourage et à lui-même, l'artiste montre un mode de vie à la marge, celui des motards ou des héroïnomanes.
Son point de vue impliqué ne décrit pas une marginalité mais une autre façon de vivre, une nouvelle norme. Alberto Garcia-Alix est aussi un artiste éminemment urbain. Il décrit une ville de plus en plus aliénante et déshumanisée où ce qui était à la marge (l'uniformité caractéristique des banlieues) devient la norme. Il incite ainsi le spectateur à porter un regard différent sur ces deux notions et questionner un cloisonnement qui favorise l'exclusion.
Son point de vue impliqué ne décrit pas une marginalité mais une autre façon de vivre, une nouvelle norme. Alberto Garcia-Alix est aussi un artiste éminemment urbain. Il décrit une ville de plus en plus aliénante et déshumanisée où ce qui était à la marge (l'uniformité caractéristique des banlieues) devient la norme. Il incite ainsi le spectateur à porter un regard différent sur ces deux notions et questionner un cloisonnement qui favorise l'exclusion.
L'oeuvre d'Alberto Garcia-Alix (1956) est empreinte de mélancolie ; elle parle au passé et montre ce qui n'est plus. La conception que l'artiste a de son médium est à mettre en parallèle avec sa façon de vivre au jour le jour parce que sa vie, menacée par la drogue et la maladie, est précaire. En s'intéressant à son entourage et à lui-même, l'artiste montre un mode de vie à la marge, celui des motards ou des héroïnomanes.
Son point de vue impliqué ne décrit pas une marginalité mais une autre façon de vivre, une nouvelle norme. Alberto Garcia-Alix est aussi un artiste éminemment urbain. Il décrit une ville de plus en plus aliénante et déshumanisée où ce qui était à la marge (l'uniformité caractéristique des banlieues) devient la norme. Il incite ainsi le spectateur à porter un regard différent sur ces deux notions et questionner un cloisonnement qui favorise l'exclusion.
Son point de vue impliqué ne décrit pas une marginalité mais une autre façon de vivre, une nouvelle norme. Alberto Garcia-Alix est aussi un artiste éminemment urbain. Il décrit une ville de plus en plus aliénante et déshumanisée où ce qui était à la marge (l'uniformité caractéristique des banlieues) devient la norme. Il incite ainsi le spectateur à porter un regard différent sur ces deux notions et questionner un cloisonnement qui favorise l'exclusion.