Les XXIes Rencontres méditerranéennes Albert Camus 2004 s'inscrivent dans la connaissance de l'œuvre et de la personnalité de Camus, des origines espagnoles (plutôt levantines que castillanes) et ces influences reçues, présentes dans l'œuvre de création (Carnets, pièce de création collective :
Révolte dans les Asturies, et dans L'État de siège, par exemple), comme dans l'œuvre d'adaptation et de traduction La Dévotion à la Croix, de Calderon de la Barca et dans Le Chevalier d'Olmedo, de Lope de Vega. Ses nombreux articles (déjà en 1938 dans Alger républicain) et prises de position en faveur de
l'Espagne - publiés dans Combat, dans Preuves, dans Témoins - traduisent une volonté d'engagement au service de la liberté de penser, de croire, de défendre ces convictions respectueuses de la dignité de l'être humain. Ils témoignent de son soutien apporté à ceux qui souffrent, dans leur chair et dans leur pensée : " Ce que je dois à l'Espagne... symboles cette amitié dans l'Espagne de l'exil. [...] Amis espagnols, nous sommes en partie du même sang et j'ai envers votre patrie, sa littérature et son
peuple, sa tradition, une dette qui ne s'éteindra pas. " (Ce que je dois à l'Espagne, 1958) Partager, être parmi les hommes est la résonance d'une œuvre qui, dans sa naissance comme dans ses engagements, a toujours voulu rester fidèle à la beauté comme aux humiliés.
Les XXIes Rencontres méditerranéennes Albert Camus 2004 s'inscrivent dans la connaissance de l'œuvre et de la personnalité de Camus, des origines espagnoles (plutôt levantines que castillanes) et ces influences reçues, présentes dans l'œuvre de création (Carnets, pièce de création collective :
Révolte dans les Asturies, et dans L'État de siège, par exemple), comme dans l'œuvre d'adaptation et de traduction La Dévotion à la Croix, de Calderon de la Barca et dans Le Chevalier d'Olmedo, de Lope de Vega. Ses nombreux articles (déjà en 1938 dans Alger républicain) et prises de position en faveur de
l'Espagne - publiés dans Combat, dans Preuves, dans Témoins - traduisent une volonté d'engagement au service de la liberté de penser, de croire, de défendre ces convictions respectueuses de la dignité de l'être humain. Ils témoignent de son soutien apporté à ceux qui souffrent, dans leur chair et dans leur pensée : " Ce que je dois à l'Espagne... symboles cette amitié dans l'Espagne de l'exil. [...] Amis espagnols, nous sommes en partie du même sang et j'ai envers votre patrie, sa littérature et son
peuple, sa tradition, une dette qui ne s'éteindra pas. " (Ce que je dois à l'Espagne, 1958) Partager, être parmi les hommes est la résonance d'une œuvre qui, dans sa naissance comme dans ses engagements, a toujours voulu rester fidèle à la beauté comme aux humiliés.