Albert Adès et Albert Josipovici. Ecrivains d'Egypte d'expression française au début du XXe siècle
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- Nombre de pages106
- PrésentationBroché
- Poids0.125 kg
- Dimensions1,4 cm × 2,2 cm × 0,1 cm
- ISBN978-2-296-11162-2
- EAN9782296111622
- Date de parution01/01/2010
- CollectionEspaces littéraires
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
La présent étude porte sur deux écrivains " égyptiens " : Albert Adès (1893-1921) et Albert Josipovici (1892-1938). Alors qu'elle est actuellement assez peu étudiée, la littérature égyptienne d'expression française connut le succès avant même que la notion de " francophonie " ne soit généralisée. Jusqu'au milieu du XXe siècle, le français était, pour l'élite intellectuelle d'Egypte, synonyme d'accès à la modernité et à la culture. Les deux écrivains ont publié quatre romans : Les Inquiets (sous le pseudonyme A-I Theix, en 1914) et Le livre de Goha le simple (signé de leurs deux noms en 1919), Un roi tout nu (d'Albert Adès, publication posthume en 1922), Le Beau Saïd (Albert Josipovici, en 1928). Le livre de Goha le simple a fait partie de la sélection pour le prix Goncourt, l'année où Proust l'obtint pour A l'ombre des jeunes filles en fleurs.
La présent étude porte sur deux écrivains " égyptiens " : Albert Adès (1893-1921) et Albert Josipovici (1892-1938). Alors qu'elle est actuellement assez peu étudiée, la littérature égyptienne d'expression française connut le succès avant même que la notion de " francophonie " ne soit généralisée. Jusqu'au milieu du XXe siècle, le français était, pour l'élite intellectuelle d'Egypte, synonyme d'accès à la modernité et à la culture. Les deux écrivains ont publié quatre romans : Les Inquiets (sous le pseudonyme A-I Theix, en 1914) et Le livre de Goha le simple (signé de leurs deux noms en 1919), Un roi tout nu (d'Albert Adès, publication posthume en 1922), Le Beau Saïd (Albert Josipovici, en 1928). Le livre de Goha le simple a fait partie de la sélection pour le prix Goncourt, l'année où Proust l'obtint pour A l'ombre des jeunes filles en fleurs.