Telle une plongée dans l'univers d'Alain Gegout, l'ouvrage présente plus de quarante années de peinture : une tentative précise et détaillée tant que faire se peut, qui consiste à cerner un phénomène improbable, celui d'appréhender un acte de peindre au long cours, l'aventure de la peinture elle-même. En véritable fil rouge, Flo va incarner cette quête : Flo, sa muse, son inspiratrice polymorphe qu'il torture et sublime sans cesse.
D'abord Ophelia couchée - en écho au fameux tableau de John Everett Millais -, Flo va se redresser avec le temps, perdre ses bras, progressivement se dissoudre, s'évaporer. Comme la décrit Denys-Louis Colaux, "haut lieu de la singularité picturale, pic investi d'affects, d'orages existentiels, de bouffonneries, glorieuse anti-héroïne, divinité torse, femme-tronc sans cesse pillée, moignon somptueux, majesté équarrie [...], elle est peut-être la métaphore la plus étourdissante de l'art d'aujourd'hui."
Telle une plongée dans l'univers d'Alain Gegout, l'ouvrage présente plus de quarante années de peinture : une tentative précise et détaillée tant que faire se peut, qui consiste à cerner un phénomène improbable, celui d'appréhender un acte de peindre au long cours, l'aventure de la peinture elle-même. En véritable fil rouge, Flo va incarner cette quête : Flo, sa muse, son inspiratrice polymorphe qu'il torture et sublime sans cesse.
D'abord Ophelia couchée - en écho au fameux tableau de John Everett Millais -, Flo va se redresser avec le temps, perdre ses bras, progressivement se dissoudre, s'évaporer. Comme la décrit Denys-Louis Colaux, "haut lieu de la singularité picturale, pic investi d'affects, d'orages existentiels, de bouffonneries, glorieuse anti-héroïne, divinité torse, femme-tronc sans cesse pillée, moignon somptueux, majesté équarrie [...], elle est peut-être la métaphore la plus étourdissante de l'art d'aujourd'hui."