
Aimer, verbe intransitif
Par :Formats :
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages166
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.245 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 1,6 cm
- ISBN2-07-072815-3
- EAN9782070728152
- Date de parution01/02/1995
- CollectionDu monde entier
- ÉditeurGallimard
Résumé
C'est la profession que s'est choisie Elza, quasiment une mission. Campé au milieu de ses personnages, Mário de Andrade moque allègrement chez ses compatriotes une nouvelle bourgeoisie d'argent, ignorante et béate devant ce qui est étranger. Car, sous ce roman de formation, il s'agit de l'identité brésilienne, une question à l'ordre du jour dans un pays en mutation. Elle est au centre de l'«agitation» des modernistes de São Paulo en ces années vingt.
Mêlant les gros plans expressionnistes, les ruptures, les variations, les combinaisons inédites de vocables, Aimer, verbe intransitif est cette «mélodie neuve» que recherchait Mário de Andrade, avec, en transparence, l'attendrissement amusé que toujours l'amour provoque chez lui.
C'est la profession que s'est choisie Elza, quasiment une mission. Campé au milieu de ses personnages, Mário de Andrade moque allègrement chez ses compatriotes une nouvelle bourgeoisie d'argent, ignorante et béate devant ce qui est étranger. Car, sous ce roman de formation, il s'agit de l'identité brésilienne, une question à l'ordre du jour dans un pays en mutation. Elle est au centre de l'«agitation» des modernistes de São Paulo en ces années vingt.
Mêlant les gros plans expressionnistes, les ruptures, les variations, les combinaisons inédites de vocables, Aimer, verbe intransitif est cette «mélodie neuve» que recherchait Mário de Andrade, avec, en transparence, l'attendrissement amusé que toujours l'amour provoque chez lui.