Afromanie. Essai d'études africaines

Par : Mukadi Ilunga

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  • Nombre de pages118
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.144 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 0,7 cm
  • ISBN978-2-336-47348-2
  • EAN9782336473482
  • Date de parution01/05/2025
  • CollectionEtudes africaines. Philosophie
  • ÉditeurL'Harmattan
  • PréfacierToussaint Kafarhire Murhula

Résumé

Afromanie invite à questionner l'image que nous nous faisons de l'Afrique. L'auteur noue ici un dialogue avec les cadres discursifs, les contextes culturels, et les histoires socio-politiques qui ont déterminé les productions, accumulations, et dispersions des savoirs sur l'Afrique, tels que nous en disposons aujourd'hui. Il refuse de s'enfermer dans le ghetto de la "bibliothèque coloniale" , qui devient comme une prison de l'imaginaire de l'Afrique.
Il prend le risque de réfuter tout dogmatisme aussi bien afrocentriste que post-colonial. Reprenant les conclusions des anciens, l'auteur critique leurs perspectives. Il écoute et questionne ses prédécesseurs et reprend à son compte leurs débats. Surtout, il prend position et parle d'Afromanie. Un mot qu'il forge pour décrire une sorte de transgression émotionnelle et intellectuelle, ainsi que les incohérences épistémologiques, esthétiques, et symboliques qui étouffent les discours sur l'Afrique, ainsi que la vision que l'on a d'elle.
Afromanie invite à questionner l'image que nous nous faisons de l'Afrique. L'auteur noue ici un dialogue avec les cadres discursifs, les contextes culturels, et les histoires socio-politiques qui ont déterminé les productions, accumulations, et dispersions des savoirs sur l'Afrique, tels que nous en disposons aujourd'hui. Il refuse de s'enfermer dans le ghetto de la "bibliothèque coloniale" , qui devient comme une prison de l'imaginaire de l'Afrique.
Il prend le risque de réfuter tout dogmatisme aussi bien afrocentriste que post-colonial. Reprenant les conclusions des anciens, l'auteur critique leurs perspectives. Il écoute et questionne ses prédécesseurs et reprend à son compte leurs débats. Surtout, il prend position et parle d'Afromanie. Un mot qu'il forge pour décrire une sorte de transgression émotionnelle et intellectuelle, ainsi que les incohérences épistémologiques, esthétiques, et symboliques qui étouffent les discours sur l'Afrique, ainsi que la vision que l'on a d'elle.