Contes de joies, de larmes et d'effroi
Grand Format
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Afrique adieu
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- Nombre de pages102
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.133 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 0,8 cm
- ISBN978-2-7500-1937-2
- EAN9782750019372
- Date de parution04/02/2025
- ÉditeurLa Bruyère éditions
Résumé
J'avais 24 ans quand j'ai pris contact avec l'Afrique. C'est au Cameroun que j'ai rencontré mon époux. Un homme droit, avec un sens moral développé. Pour qu'il n'y ait pas de vol, il payait les salaires à chaque employé devant témoins (quel qu'en soit le nombre). Si en pleine nuit un gars arrivait du campement en hurlant "Patron, patron, y a la femme qui va faire le petit", il sautait dans sa jeep et emmenait la femme à l'hôpital.
Quand nous sommes partis, le chef du village a voulu me parler : " Madame, nous vous regretterons, vous et votre mari. " Nous partions, ils nous regrettaient. Maintenant les Français sont chassés sous les insultes. Qu'est-il arrivé ? Je ne reconnais plus l'Afrique. Je ne peux que lui dire ADIEU.
Quand nous sommes partis, le chef du village a voulu me parler : " Madame, nous vous regretterons, vous et votre mari. " Nous partions, ils nous regrettaient. Maintenant les Français sont chassés sous les insultes. Qu'est-il arrivé ? Je ne reconnais plus l'Afrique. Je ne peux que lui dire ADIEU.
J'avais 24 ans quand j'ai pris contact avec l'Afrique. C'est au Cameroun que j'ai rencontré mon époux. Un homme droit, avec un sens moral développé. Pour qu'il n'y ait pas de vol, il payait les salaires à chaque employé devant témoins (quel qu'en soit le nombre). Si en pleine nuit un gars arrivait du campement en hurlant "Patron, patron, y a la femme qui va faire le petit", il sautait dans sa jeep et emmenait la femme à l'hôpital.
Quand nous sommes partis, le chef du village a voulu me parler : " Madame, nous vous regretterons, vous et votre mari. " Nous partions, ils nous regrettaient. Maintenant les Français sont chassés sous les insultes. Qu'est-il arrivé ? Je ne reconnais plus l'Afrique. Je ne peux que lui dire ADIEU.
Quand nous sommes partis, le chef du village a voulu me parler : " Madame, nous vous regretterons, vous et votre mari. " Nous partions, ils nous regrettaient. Maintenant les Français sont chassés sous les insultes. Qu'est-il arrivé ? Je ne reconnais plus l'Afrique. Je ne peux que lui dire ADIEU.
