Adverbes et participes en grec ancien. Morphologie et syntaxe des formes dérivées de participes d'Homère à Polybe

Par : Audrey Mathys
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  • Nombre de pages227
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.38 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,7 cm
  • ISBN979-10-240-1158-5
  • EAN9791024011585
  • Date de parution10/07/2019
  • CollectionCahiers de l'ERIAC
  • ÉditeurPURH

Résumé

Le grec ancien possède une série de formes où le suffixe productif pour dériver des adverbes de manière sur base adjectivale s'est associé à des thèmes de participes. Certains d'entre eux, en particulier sur le participe présent du verbe "avoir", semblent capables de régir un complément d'objet. Cette particularité invite à s'interroger sur les rapports de ces formes avec le paradigme verbal. S'agit-il de participes ou de converbes, ou faut-il y voir des formes devant leur existence à l'adjectivation du participe sous-jacent ? Le présent travail s'efforce de répondre à cette question et de fournir une description de cette classe de mots, qui n'a jamais fait l'objet d'une étude systématique.
Les caractéristiques morphologiques et les emplois de ces formes sont examinés dans un corpus constitué de la plupart des textes littéraires des périodes archaïque et classique, ainsi que de quelques textes plus récents. Afin de déterminer le statut de ces formes, leur syntaxe est comparée avec celle de différentes constructions typiques de participes, d'adjectifs ou d'adverbes : constructions absolues (en particulier accusatif absolu impersonnel), participes circonstanciels, adjectifs en apposition prédicative, adverbes de manière, d'intensité ou encore adverbes de phrase.
Le grec ancien possède une série de formes où le suffixe productif pour dériver des adverbes de manière sur base adjectivale s'est associé à des thèmes de participes. Certains d'entre eux, en particulier sur le participe présent du verbe "avoir", semblent capables de régir un complément d'objet. Cette particularité invite à s'interroger sur les rapports de ces formes avec le paradigme verbal. S'agit-il de participes ou de converbes, ou faut-il y voir des formes devant leur existence à l'adjectivation du participe sous-jacent ? Le présent travail s'efforce de répondre à cette question et de fournir une description de cette classe de mots, qui n'a jamais fait l'objet d'une étude systématique.
Les caractéristiques morphologiques et les emplois de ces formes sont examinés dans un corpus constitué de la plupart des textes littéraires des périodes archaïque et classique, ainsi que de quelques textes plus récents. Afin de déterminer le statut de ces formes, leur syntaxe est comparée avec celle de différentes constructions typiques de participes, d'adjectifs ou d'adverbes : constructions absolues (en particulier accusatif absolu impersonnel), participes circonstanciels, adjectifs en apposition prédicative, adverbes de manière, d'intensité ou encore adverbes de phrase.
Lalies N° 37
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