La photo de Spassitel, en poilu de 14-18, sur le buffet d'un petit appartement de la banlieue parisienne. Un regard lointain et un peu désabusé, une épaisse moustache destinée à masquer bien des sillons creusés par l'appréhension, l'effroi, la détresse : la guerre ! Pensait-il à ses frères, ses amis de jeunesse, que les hasards de l'histoire faisaient combattre dans le camp opposé ? Ou encore, à Ohrid, la belle Macédonienne délaissée et perdue ? Un portrait énigmatique qui a inspiré ce roman historique et d'aventures.
Une peinture vivante de l'Empire ottoman d'Europe, particulièrement de la Macédoine, multiple et déchirée, aux existences tumultueuses.
La photo de Spassitel, en poilu de 14-18, sur le buffet d'un petit appartement de la banlieue parisienne. Un regard lointain et un peu désabusé, une épaisse moustache destinée à masquer bien des sillons creusés par l'appréhension, l'effroi, la détresse : la guerre ! Pensait-il à ses frères, ses amis de jeunesse, que les hasards de l'histoire faisaient combattre dans le camp opposé ? Ou encore, à Ohrid, la belle Macédonienne délaissée et perdue ? Un portrait énigmatique qui a inspiré ce roman historique et d'aventures.
Une peinture vivante de l'Empire ottoman d'Europe, particulièrement de la Macédoine, multiple et déchirée, aux existences tumultueuses.