'Abd ar-Razzâq al-Qâshânî Les interprétations ésotériques du Coran. Les Clefs : La Fâtihah et les lettres isolées

Par : Michel Valsan

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  • Nombre de pages123
  • PrésentationBroché
  • Poids0.33 kg
  • Dimensions21,0 cm × 21,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-36112-007-8
  • EAN9782361120078
  • Date de parution29/10/2009
  • CollectionBibliothèque traditionnelle
  • ÉditeurKoutoubia

Résumé

Le Prophète a dit : " Aucun verset du Coran ne descendit (dans la révélation) sans qu'il comporte un "dos" (zahr) et un "ventre" (batn) ; et toute lettre (d'un verset) a une "limite" (hadd) et toute "limite" a un " mirador" (muttala') ". Dans ses Commentaires ésotériques du Coran, Qâshânî, (ob. 730/1329), un des grands auteurs de l'école d'Ibn Arabî déclare : " Je compris que le " dos " est l'explication exotérique (at-tafsîr) et le "ventre " est l'interprétation ésotérique (at-ta'wîl) la " limite " est ce où cessent les compréhensions du sens verbal, et le "mirador" le point contemplatif où l'on monte pour jouir du spectacle du Roi Très-Savant. La sourate inaugurale du Coran est appelée al-Fâtihah " Celle qui ouvre ". A ce titre, elle est considérée comme " la Clef du Coran " par excellence et s'avère indispensable à toute participation au Discours divin. Elle n'est toutefois pas la seule; d'autres " Clefs " mystérieuses opèrent dans le Texte sacré, notamment celles constituées par les monogrammes énigmatiques que l'on trouve en tête de certaines sourates. Michel Vâlsan rend accessible ici à des non arabophones l'une des rares exégèses spirituelles relatives àces passages importants de la Révélation islamique.
Le Prophète a dit : " Aucun verset du Coran ne descendit (dans la révélation) sans qu'il comporte un "dos" (zahr) et un "ventre" (batn) ; et toute lettre (d'un verset) a une "limite" (hadd) et toute "limite" a un " mirador" (muttala') ". Dans ses Commentaires ésotériques du Coran, Qâshânî, (ob. 730/1329), un des grands auteurs de l'école d'Ibn Arabî déclare : " Je compris que le " dos " est l'explication exotérique (at-tafsîr) et le "ventre " est l'interprétation ésotérique (at-ta'wîl) la " limite " est ce où cessent les compréhensions du sens verbal, et le "mirador" le point contemplatif où l'on monte pour jouir du spectacle du Roi Très-Savant. La sourate inaugurale du Coran est appelée al-Fâtihah " Celle qui ouvre ". A ce titre, elle est considérée comme " la Clef du Coran " par excellence et s'avère indispensable à toute participation au Discours divin. Elle n'est toutefois pas la seule; d'autres " Clefs " mystérieuses opèrent dans le Texte sacré, notamment celles constituées par les monogrammes énigmatiques que l'on trouve en tête de certaines sourates. Michel Vâlsan rend accessible ici à des non arabophones l'une des rares exégèses spirituelles relatives àces passages importants de la Révélation islamique.