A la recherche de nos arbres perdus en Provence. Le mûrier noir, le sorbier domestique, l'amandier, le figuier

Par : Magali Amir

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  • Nombre de pages143
  • PrésentationBroché
  • Poids0.46 kg
  • Dimensions21,0 cm × 21,0 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-919435-00-5
  • EAN9782919435005
  • Date de parution01/10/2010
  • ÉditeurAlpes de lumière

Résumé

À la manière d'un détective, Magali Amir s'est lancée sur les traces de ces quatre arbres autrefois familiers de l'homme en Provence : le mûrier noir, le sorbier domestique, l'amandier et le figuier. Qu'ils soient encore présents dans le paysage, voire dans les cultures, comme l'amandier, ou déjà quasiment oubliés, comme le mûrier noir, elle a dû se livrer à une enquête de terrain méticuleuse, suivant des pistes incertaines ouvertes par l'écrit ou l'oral, interrogeant nombre de témoins pour reconstituer patiemment la vie qui gravitait autour de ces arbres amis de l'homme.
Un livre à lire si on s'intéresse à ce que fut, dans nos régions, l'agriculture pauvre. Mais plus encore, un livre à lire comme un cri d'alarme sur la perte inéluctable et rapide - en deux ou trois générations à peine - des savoirs du monde rural. Ne nous y trompons pas : avec l'oubli de nos pratiques culturales, c'est chaque fois un pan entier de notre mémoire culturelle qui s'effondre, inexorablement.
À la manière d'un détective, Magali Amir s'est lancée sur les traces de ces quatre arbres autrefois familiers de l'homme en Provence : le mûrier noir, le sorbier domestique, l'amandier et le figuier. Qu'ils soient encore présents dans le paysage, voire dans les cultures, comme l'amandier, ou déjà quasiment oubliés, comme le mûrier noir, elle a dû se livrer à une enquête de terrain méticuleuse, suivant des pistes incertaines ouvertes par l'écrit ou l'oral, interrogeant nombre de témoins pour reconstituer patiemment la vie qui gravitait autour de ces arbres amis de l'homme.
Un livre à lire si on s'intéresse à ce que fut, dans nos régions, l'agriculture pauvre. Mais plus encore, un livre à lire comme un cri d'alarme sur la perte inéluctable et rapide - en deux ou trois générations à peine - des savoirs du monde rural. Ne nous y trompons pas : avec l'oubli de nos pratiques culturales, c'est chaque fois un pan entier de notre mémoire culturelle qui s'effondre, inexorablement.