A l'ombre du chêne de Goethe. Buchenwald 1944-1945

Par : Robert Basset
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  • Nombre de pages255
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.3 kg
  • Dimensions14,0 cm × 20,0 cm × 1,8 cm
  • ISBN978-2-84679-557-9
  • EAN9782846795579
  • Date de parution13/06/2024
  • ÉditeurGinkgo
  • PréfacierFrançois-Bernard Michel
  • AnnotateurDidier Basset

Résumé

Robert Basset (1894-1949) est le directeur de l'école Jules Ferry à Bernay dans l'Eure, lorsque la Wehrmacht envahit la France en 1940. II entre aussitôt en résistance et envoie des messages à Londres depuis le' grenier de son logement de fonction. Arrêté par la Gestapo en 1943, puis libéré faute de preuves, il est pris en otage en juin 1944 et aussitôt déporté. Il arrive à Buchenwald le 20 aoüt alors que Paris se soulève contre l'Occupant.
Durant de longs mois, jusqu'à la libération du camp le 11 avril 1945, Robert Basset ne perdra pas espoir, continuant de participer aux actes de résistances et réussissant même à faire sortir des informations qui permettront la destruction d'installations militaires du camp. Mais surtout, Robert Basset souhaitera laisser un témoignage de la vie quotidienne à Buchenwald et des conditions de captivité des déportés.
C'est ce manuscrit que son petit-fils, Didier Basset, a retrouvé dans une cantine oubliée dans le grenier de la demeure familiale. Ce texte est avant tout le récit des terribles épreuves subies derrière les barbelés de Buchenwald : travaux forcés, violence et déshumanisation, désespoir et mort. Il est aussi la surprenante démonstration d'espoir et de solidarité, associant détenus de plusieurs nationalités.
Le présent ouvrage est enrichi de témoignages écrits de déportés et de résistants, de photographies issues d'archives mais aussi des nombreux dessins réalisés par l'auteur pendant sa détention. En somme, un récit poignant et une très belle leçon de vie...
Robert Basset (1894-1949) est le directeur de l'école Jules Ferry à Bernay dans l'Eure, lorsque la Wehrmacht envahit la France en 1940. II entre aussitôt en résistance et envoie des messages à Londres depuis le' grenier de son logement de fonction. Arrêté par la Gestapo en 1943, puis libéré faute de preuves, il est pris en otage en juin 1944 et aussitôt déporté. Il arrive à Buchenwald le 20 aoüt alors que Paris se soulève contre l'Occupant.
Durant de longs mois, jusqu'à la libération du camp le 11 avril 1945, Robert Basset ne perdra pas espoir, continuant de participer aux actes de résistances et réussissant même à faire sortir des informations qui permettront la destruction d'installations militaires du camp. Mais surtout, Robert Basset souhaitera laisser un témoignage de la vie quotidienne à Buchenwald et des conditions de captivité des déportés.
C'est ce manuscrit que son petit-fils, Didier Basset, a retrouvé dans une cantine oubliée dans le grenier de la demeure familiale. Ce texte est avant tout le récit des terribles épreuves subies derrière les barbelés de Buchenwald : travaux forcés, violence et déshumanisation, désespoir et mort. Il est aussi la surprenante démonstration d'espoir et de solidarité, associant détenus de plusieurs nationalités.
Le présent ouvrage est enrichi de témoignages écrits de déportés et de résistants, de photographies issues d'archives mais aussi des nombreux dessins réalisés par l'auteur pendant sa détention. En somme, un récit poignant et une très belle leçon de vie...