Catherine de Gueberschwihr est née vers 1250. On ne dispose que de peu d'éléments précis sur sa vie. Elle est entrée toute jeune encore au monastère d'Unterlinden ( "Sous le tilleul" ), à Colmar. On ignore les fonctions qu'elle a pu occuper dans la communauté. Il est possible, comme l'affirme la tradition, qu'elle ait été prieure de la communauté. On sait qu'elle a été en correspondance avec le célèbre dominicain Venturin de Bergame (1304-1346), ce qui témoigne au moins d'un certain statut. Le style littéraire de Catherine de Gueberschwihr montre la solidité de sa formation. Son latin, riche et élégant, porte l'empreinte des Écritures mais est aussi très marqué par la langue classique. Catherine de Gueberschwihr a écrit son livre pendant sa vieillesse. Les religieuses dont elle parle sont toutes mortes, mais certaines récemment, comme la prieure Hedwige de Gundolsheim qu'elle a visiblement bien connue. On est ainsi assuré que l'ouvrage a été écrit après 1282, et probablement dans vers 1330-1340. Son nom est cité à la 95e place dans l'obituaire de soeurs d'Unterlinden. On peut donc penser qu'elle serait morte vers 1340.
A l'ombre d'un tilleul. Les vies des soeurs d'Unterlinden
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- Nombre de pages325
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.4 kg
- Dimensions13,5 cm × 20,4 cm × 2,5 cm
- ISBN978-2-84590-311-1
- EAN9782845903111
- Date de parution29/04/2021
- CollectionLes vies imaginaires
- ÉditeurArfuyen
- TraducteurChristine de Joux
- PostfacierJeanne Ancelet-Hustache
- PostfacierGeorges Bischoff
- PostfacierRémy Valléjo
Résumé
A l'automne du Moyen Age, une femme raconte le destin de quarante-cinq autres femmes qui ont vécu dans cette même maison Sous le tilleul où elle a passé sa longue existence. Ce n'est pas une savante, ni une mystique comme les très rares femmes qui écrivent alors. Mais son écriture est vive et concrète et son témoignage riche d'informations. Cette maison, c'est Unterlinden, à Colmar, qui doit au Retable d'Issenheim d'avoir gardé intact des siècles plus tard son rayonnement spirituel et culturel.
Cette femme, c'est Catherine de Gueberschwihr (v. 1260 - v. 1330). Son livre, dont le manuscrit est conservé aujourd'hui encore à la Bibliothèque des Dominicains de Colmar, est ici traduit pour la première fois.
Cette femme, c'est Catherine de Gueberschwihr (v. 1260 - v. 1330). Son livre, dont le manuscrit est conservé aujourd'hui encore à la Bibliothèque des Dominicains de Colmar, est ici traduit pour la première fois.
A l'automne du Moyen Age, une femme raconte le destin de quarante-cinq autres femmes qui ont vécu dans cette même maison Sous le tilleul où elle a passé sa longue existence. Ce n'est pas une savante, ni une mystique comme les très rares femmes qui écrivent alors. Mais son écriture est vive et concrète et son témoignage riche d'informations. Cette maison, c'est Unterlinden, à Colmar, qui doit au Retable d'Issenheim d'avoir gardé intact des siècles plus tard son rayonnement spirituel et culturel.
Cette femme, c'est Catherine de Gueberschwihr (v. 1260 - v. 1330). Son livre, dont le manuscrit est conservé aujourd'hui encore à la Bibliothèque des Dominicains de Colmar, est ici traduit pour la première fois.
Cette femme, c'est Catherine de Gueberschwihr (v. 1260 - v. 1330). Son livre, dont le manuscrit est conservé aujourd'hui encore à la Bibliothèque des Dominicains de Colmar, est ici traduit pour la première fois.