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À découvrir
après avoir lu avec plaisir 2 livres de Tatiana de Rosnay, j'ai "sauté" sur celui-ci. Eh bien, mauvais choix! L'histoire est aussi superficielle que le héros du livre si ce n'est l'envahissement des réseaux sociaux dans nos vies.
On a l'impression que l'auteure a profité d'un fait divers réel pour terminer son livre et donner de l'épaisseur au personnage de Nicolas Kolt.
Critique à chaud: mouais... tout ça pour ça!
Du mal à rentrer dans le livre, mais pris par l'envie d'une surprise, d'un rebondissement, d'en savoir plus sur cette intrigue longue à se mettre en place. Bref comment va s'en sortir Tatiana de Rosnay car même si ce n'est aps son meilleur livre, le lecteur est tenu en haleine.
Et ca fait plouf! La fin est autant inimaginable qu'assez grotesque.
Attention, je ne dis pas que ce livre est à jeter. Il est très actuel avec les dérives des réseaux sociaux et ses effets virtuels de peopilisation; le succès inattendu qui tourne la tête et détourne
de la famille et des amis; et les événements réels relatés dans le livre (DSK et le Sofitel, le Costa Concordia...)
Mais je le trouve inachevé...
Je le recommande car il est toujours agréable de lire Tatiana, mais il ne restera pas dans les annales.
Qu'est-il arrivé à Tatiana de Rosnay? La pression du star system ? La peur de la page blanche ? Elle qui nous nous avait tellement charmé avec ses romans tels que "l'appartement", "Moka", "la mémoire des murs" sans parler de "Elle s'appelait Sarah" ne nous fait pas de cadeau avec son dernier livre.
Ici, durant 350 pages, rien ne tient la route: ni l'intrigue ni les personnages auxquels jamais on ne s'attache. Au contraire, ils nous insupportent. Certes, cela permet de mettre en lumière les dérives des réseaux sociaux et surtout de leur influence désastreuse sur les adultes qui en deviennent
accros mais il n'y a pas de "réflexion" sur l'identité et sur le deuil impossible d'un parent disparu sans laisser de trace.
Un secret de famille, les fantômes du passé, la recherche de ses ancêtres ? Rien de tout cela. On assiste juste à une succession de scènes improbables (jusqu'à l'apothéose ridicule) où se pavane un écrivain, marqué (y croit-on vraiment ?) par la disparition de son père en mer durant son enfance et surtout par la célébrité rapide liée à la parution de son premier roman.
Si Tatiana de Rosnay, nièce d'Arnaud de Rosnay disparu en mer de Chine dans les années 80 souhaite approfondir les secrets de famille et les sentiments filiaux, pourquoi pas mais certainement pas avec un roman de plage aussi léger.
En avril dernier, Dandelion chroniquait La Théorie de l'information d'Aurélien Bellanger, roman, qui dès sa sortie, fut affublé de l'expression "roman Wikipedia". Cette chronique romancée de l'histoire technologique française de ces 30 dernières années, n'a pas grand chose à voir avec A l'encre russe de Tatiana de Rosnay.
Et pourtant, si l'un est associé à l'encyclopédie incontournable du Net, l'autre peut aisément l'être à un autre élément du Web, devenu incontournable dans nos vies quotidiennes, je veux parler des réseaux sociaux et plus particulièrement concernant A l'encre
russe de Twitter.
Alors, A l'encre russe, le roman des réseaux sociaux ?
On peut le dire tant le thème y est présent. Mais pour autant, A l'encre russe ne peut se résumer qu'à cela.
Romancière de langue française la plus lue dans le monde, Tatiana de Rosnay ne nous fait cette fois pas cet honneur, puisque qu'A l'encre russe est traduit de l'anglais. Ceci explique peut être l'accueil mitigé qu'a eu le roman auprès de son lectorat.
Pourtant, celui-ci ne manque pas d’intérêts, même si les thèmes abordés sont aux antipodes de Elle s'appelait Sarah le plus grand succès de l'auteure franco-anglaise.
Ce dernier, je ne l'ai pas lu mais me souviens de son émouvante adaptation. Ainsi, je n'avais aucun point de comparaison avant de me lancer dans la lecture de son nouveau roman.
Réflexion sur les moteurs de l'inspiration (ce qui peut pousser un écrivain à écrire et les écueils dans lesquels il peut tomber après avoir rencontré un premier succès), récit sur la quête d'identité (Nicolas Duhamel, le héros du roman, découvre lors du renouvellement de son passeport que son père est d'origine russe ce qu'il ignorait totalement), chronique d'un palace italien de luxe, et comme je l'ai dit en introduction essai sur les réseaux sociaux et sur les travers, dans lesquels, tout un chacun et plus particulièrement un écrivain peut tomber, A l'encre russe, sans grandes envolées lyriques, propose une lecture agréable dénuée de digressions lourdes et parfois ennuyeuses présentes chez certains auteurs. Ainsi, A l'encre russe tient plus de la lecture "récréative" que les vacanciers-lecteurs tendent par exemple à privilégier lors du congés estivales.
J'ai entendu ça et là que Tatiana de Rosnay avait réussi un joli coup en surfant sur les thèmes des nouvelles technologies et des réseaux sociaux. Ces derniers, il faut bien l'admettre sont devenus incontournables ; des auteurs spécialistes totalement inconnus du grand public, sont ainsi parvenus à se faire connaitre grâce à eux. Tatiana de Rosnay et son éditeur semble l'avoir compris. De ce fait, certains personnages qui n'existent que dans le roman, trouvent, chose amusante, leur propre avatar actif sur le réseau Twitter. N'est-ce pas plutôt la preuve que Tatiana de Rosnay est parfaitement en phase avec son temps, que Twitter ou Facebook sont des médias incontournables lors du lancement d'un roman et enfin que Tatiana de Rosnay est une vrai auteure du 21 ème siècle ?
AL
http://blowawaydandelion.blogspot.fr/2013/08/a-lencre-russe-de-tatiana-de-rosnay.html
Nicolas Duhamel est un quidam mais sous le pseudonyme de Nicolas Kolt, il a publié, quatre ans auparavant, un best-seller porté à l'écran avec Robin Wright dans le rôle principal. Entre-temps, il s'est séparé de sa compagne Delphine, la seule femme qu'il ait aimé car elle ne le supportait plus. Depuis, Nicolas n'a plus écrit. Il passe son temps à voyager et surtout, à tweeter tout ce qu'il fait. Bref, il s'est perdu dans la célébrité. Son roman porte sur un secret de famille, celui de son personnage Margaux mais aussi le sien, ou plutôt celui de son père, disparu en mer. Il passe
trois jours sur une île de Toscane, trois jours qui ne seront pas de tout repos.
Le seul roman que j'ai lu de cette auteure était Rose et je n'avais pas aimé. Mais comment résister à cette belle couverture? Je n'ai pas regretté car j'ai aimé faire la connaissance de Nicolas et découvrir comment ce jeune écrivain à succès avait perdu le sens des réalité et n'arrivait pas à passer à son second roman. Je ne suis pas sûre que, comme le sous-entend le roman, il faille forcément vivre des épreuves (mais en fait, je n'en sait rien puisque je ne suis pas écrivain). Si Nicolas se comporte mal, il n'en est pas moins touchant. Je regrette juste la fin qui ne m'a pas convaincue.
Il fait chaud dans cet hotel de luxe, Nicolas, en week-end, avec sa compagne et son blackberry, s'ennuie. Et le lecteur aussi. Les premières pages contiennent de longues description sans intérêt, qui donnent envie de refermer le livre, mais l'attrait du secret de famille annoncé en quatrième de couv retient le geste.
J'ai lu presque tous les livres de TdeRosnay mais là j'ai été déçue ! Je me suis ennuyée jusqu'à la moitié du livre. J'ai eu des difficultés à entrer dans l'histoire : trop de "tiroirs", à mon goût : la vie actuelle du héros écrivain à succès, son passé avec sa quête d'identité et ses secrets de famille , l'histoire de l'héroïne de son livre. Je n'ai pas retrouvé le style l'écriture des autres livres (j'ai remarqué que ce livre était écrit en anglais et avait été traduit en français ??) Néanmoins, quelques chapitres avec des thèmes intéressants comme les conséquences de la célébrité et les déboires suite à des conversations ou photos sur les réseaux sociaux. Dommage, j'ai eu l'impression que c'était vraiment l'histoire de Tatiana de Rosnay : écrire un livre au plus vite pour faire plaisir à son éditeur...
Le livre s'ouvre sur une sorte d'Eden : avec son parfum de luxe et de sensualité, de mer et de vacances hors du monde. On y découvre Nicolas Kolt, jeune inconnu que le succès de son premier roman a propulsé dans l'élite des « gens de lettres » et surtout d'argent. Le lecteur entre dans cet univers frivole, faussement simple et se retrouve plongé, au fur et à mesure, dans la descente au enfers très intime et existentiel de l'ego de Nicolas, avec de nombreuses rétrospectives dans son passé, alors qu'il enquête sur la disparition et les origines de son père.
Tatiana de Rosnay
signe un nouveau brio de la narration, toujours autour du thème du secret de famille, mais nous offre également un ouvrage qui met en lumière la vanité de l'écrivain dans un monde de l'édition un peu trop hollywoodien dans ses traits.
Pour ma part, quitte à tomber davantage dans le stéréotype, j'aurais peut-être préféré une fin plus ambiguë et périlleuse pour ce personnage de Nicolas, qui bien qu'attachant à sa façon égotiste, manque un peu de relief.
Je suis assez surprise et septique vis à vis de ce livre...
Le début est plutôt décevant, je trouve que le livre commence à nous "tenir" dans les 100 dernières pages.
En revanche, il est surprenant car tout au long de la lecture, on se demande si Nicolas Kolt existe réellement... Après ma lecture j'ai fait quelques recherches. En effet, dans le roman l'auteur est accro aux réseaux sociaux tel que Facebook, l'histoire se déroule avec en fond des évènements réels tel que l'affaire DSK ou le naufrage d'un paquebot de croisière au large des côtes italiennes... J'ai ainsi trouvé
le profil Instagram du personnage, j'ai donc eu la réponse...
Le roman en lui même est très différent de ce que je connaissais de Tatiana De Rosnay (à savoir Elle s'appelait Sarah) mais, une fois qu'on a commencé à le lire, on veut quand même savoir comment ça se termine.
Voyage entre la Russie et l'Italie mon pays d'adoption.Le Gallo Nero m'a transporté en vacances, le livre a réussi à me faire me faire imaginer Moscou, peut être serai-je déçue mais c'est décidé, nous allons y aller.
Touchant, émouvant et passionnant de suivre la quête de ce personnage et tout simplement beau livre, belle écriture
Merci Tatiana
ennuyeux
Livre abandonné après 150 pages, totalement ennuyeux, l'intrigue n'avance pas, ça se répète... je déconseille