Prix Eugène Dabit du roman populiste

A l'abri de rien
Edition en gros caractères

Par : Olivier Adam
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  • Nombre de pages236
  • PrésentationBroché
  • FormatEdition en gros caractères
  • Poids0.338 kg
  • Dimensions15,0 cm × 22,0 cm × 2,2 cm
  • ISBN978-2-36559-219-2
  • EAN9782365592192
  • Date de parution18/04/2019
  • CollectionLire en grand
  • ÉditeurLes Editions Retrouvées

Résumé

Marie se sent mal dans sa vie. Elle est perdue, dépassée par les évènements. Seuls son mari et ses enfants semblent la rattacher à la réalité. Lorsqu'elle rencontre des immigrés clandestins, elle décide de les aider en leur donnant tout ce qu'elle possède : vêtements, argent... La jeune femme n'arrive plus à discerner ses priorités et délaisse les siens au profit de ces hommes qui ont tout quitté pour un monde meilleur, s'enfonçant dans la dépression.
Entraînée par une force irrésistible, elle s'expose à tous les dangers, y compris celui d'y laisser sa peau.
Marie se sent mal dans sa vie. Elle est perdue, dépassée par les évènements. Seuls son mari et ses enfants semblent la rattacher à la réalité. Lorsqu'elle rencontre des immigrés clandestins, elle décide de les aider en leur donnant tout ce qu'elle possède : vêtements, argent... La jeune femme n'arrive plus à discerner ses priorités et délaisse les siens au profit de ces hommes qui ont tout quitté pour un monde meilleur, s'enfonçant dans la dépression.
Entraînée par une force irrésistible, elle s'expose à tous les dangers, y compris celui d'y laisser sa peau.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4.2/5
sur 15 notes dont 4 avis lecteurs
Dur
Notre narratrice s’appelle Sarah, a 40 ans ; elle est mariée à Alain, «gentil, pondéré, rassurant, raisonnable et fiable», et ils ont deux adolescents de 16 et 14 ans (Romain et Anaïs). Lorsqu’elle apprend le décès plus ou moins accidentel de son frère, Nathan, de qui elle était très proche, c’est le drame. Elle éprouve le besoin impérieux de se retrouver seule. Elle veut comprendre et élucider les mystères qu’il a laissé derrière lui. Ainsi, elle s’envole vers le Japon, fait le point sur sa propre vie et marche sur les derniers pas de Nathan qui semblait avoir trouvé la paix dans ce pays aux milles facettes. C’est ainsi qu’elle découvre la falaise des suicidés et rencontre le fameux Natsume Dombori dont la réputation de sauveur et de protecteur n’est plus à faire. Une fois de plus, Olivier Adam nous raconte une histoire de personnage à la dérive. Ces 332 pages sont la longue plainte, la douleur de Sarah. D’ailleurs, on se demande si elle pourra se libérer du sentiment d’avoir abandonné son frère. L’ensemble du roman est assez dur, l’atmosphère étouffante. Olivier Adam conserve un univers triste, lourd et déprimant. Comme dans son titre Je vais bien, ne t’en fais pas, la mort rôde. Comme dans A l’Abri de Rien, la mer n’est jamais loin sans être vitale à l’histoire mais contrairement aux titres précédemment cités, on ne tombe pas dans le misérabilisme et l’évidente simplicité. Le style d’Olivier Adam est, ici, très posé, calme et sensible mais les phrases sont parfois trop longues. Les descriptions sont très nombreuses mais agréables à lire grâce à l’alternance de phrases courtes et longues qui donnent un peu de rythme. Les dernières pages (qui correspondent environ à la troisième partie) sont un véritable d’émotion et tireront, certainement, une larme aux plus sensibles. En bref, ce livre est touchant et se lit rapidement et facilement mais j’ai bien peur de ne plus me souvenir de ce roman d’ici peu. http://lireparelora.wordpress.com/2011/12/09/le-coeur-regulier-olivier-adam/
Notre narratrice s’appelle Sarah, a 40 ans ; elle est mariée à Alain, «gentil, pondéré, rassurant, raisonnable et fiable», et ils ont deux adolescents de 16 et 14 ans (Romain et Anaïs). Lorsqu’elle apprend le décès plus ou moins accidentel de son frère, Nathan, de qui elle était très proche, c’est le drame. Elle éprouve le besoin impérieux de se retrouver seule. Elle veut comprendre et élucider les mystères qu’il a laissé derrière lui. Ainsi, elle s’envole vers le Japon, fait le point sur sa propre vie et marche sur les derniers pas de Nathan qui semblait avoir trouvé la paix dans ce pays aux milles facettes. C’est ainsi qu’elle découvre la falaise des suicidés et rencontre le fameux Natsume Dombori dont la réputation de sauveur et de protecteur n’est plus à faire. Une fois de plus, Olivier Adam nous raconte une histoire de personnage à la dérive. Ces 332 pages sont la longue plainte, la douleur de Sarah. D’ailleurs, on se demande si elle pourra se libérer du sentiment d’avoir abandonné son frère. L’ensemble du roman est assez dur, l’atmosphère étouffante. Olivier Adam conserve un univers triste, lourd et déprimant. Comme dans son titre Je vais bien, ne t’en fais pas, la mort rôde. Comme dans A l’Abri de Rien, la mer n’est jamais loin sans être vitale à l’histoire mais contrairement aux titres précédemment cités, on ne tombe pas dans le misérabilisme et l’évidente simplicité. Le style d’Olivier Adam est, ici, très posé, calme et sensible mais les phrases sont parfois trop longues. Les descriptions sont très nombreuses mais agréables à lire grâce à l’alternance de phrases courtes et longues qui donnent un peu de rythme. Les dernières pages (qui correspondent environ à la troisième partie) sont un véritable d’émotion et tireront, certainement, une larme aux plus sensibles. En bref, ce livre est touchant et se lit rapidement et facilement mais j’ai bien peur de ne plus me souvenir de ce roman d’ici peu. http://lireparelora.wordpress.com/2011/12/09/le-coeur-regulier-olivier-adam/
  • Triste
  • Inattendu
  • Intriguant
Ce roman parle d’une vie fragile, celle de Marie, qui décide de porter secours à des réfugiés qu’on a abandonnés hors la ville. On retrouve avec plaisir l’écriture si particulière d’Olivier Adam, d’une force irrésistible malgré des phrases aux mots tout simples, entre feu et glace. A l’image de son héroïne qui donne tout sans parvenir à l’expliquer…
Ce roman parle d’une vie fragile, celle de Marie, qui décide de porter secours à des réfugiés qu’on a abandonnés hors la ville. On retrouve avec plaisir l’écriture si particulière d’Olivier Adam, d’une force irrésistible malgré des phrases aux mots tout simples, entre feu et glace. A l’image de son héroïne qui donne tout sans parvenir à l’expliquer…
Ce roman parle d’une vie fragile, celle de Marie, qui décide de porter secours à des réfugiés qu’on a abandonnés hors la ville. On retrouve avec plaisir l’écriture si particulière d’Olivier Adam, d’une force irrésistible malgré des phrases aux mots tout simples, entre feu et glace. A l’image de son héroïne qui donne tout sans parvenir à l’expliquer…
Ce roman parle d’une vie fragile, celle de Marie, qui décide de porter secours à des réfugiés qu’on a abandonnés hors la ville. On retrouve avec plaisir l’écriture si particulière d’Olivier Adam, d’une force irrésistible malgré des phrases aux mots tout simples, entre feu et glace. A l’image de son héroïne qui donne tout sans parvenir à l’expliquer…
Olivier Adam
Né en 1974 à Paris, Olivier Adam est un auteur au succès phénoménal. C'est son premier roman, Je vais bien, ne t'en fais pas qui l'a fait connaitre au grand public et le propulse littéralement sur le devant de la scène littéraire. Bluffant, superbe, remarquable, bouleversant : voici les adjectifs qui reviennent le plus souvent quand nos lecteurs évoquent les œuvres de cet auteur. Et, en effet, particulièrement apprécié du public et des critiques, il a été récompensé de plusieurs prix dont le fameux prix Goncourt de la nouvelle en 2004. Avec son style fin et intimiste, il nous entraîne dans des histoires réalistes sonnant comme familières dans notre esprit. Avec Les Lisières, il nous livre un texte émouvant posant une véritable réflexion sur notre société contemporaine. Ce récit percutant a déjà conquis notre communauté de lecteurs et libraires. Découvrez également Yasmina Reza avec Heureux les heureux, Yasmina Khadra et Ce que le jour doit à la nuit ou encore Sept histoires qui reviennent de loin de Jean-Christophe Rufin. Nous vous offrons des histoires fabuleuses à petit prix. Par volonté de satisfaire pleinement votre appétit de lecture, nous vous les proposons sous plusieurs formats et en livraison à 1 centime.
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