Dans la France de la Renaissance, le portrait équestre se décline sous toutes les formes, de la peinture à l'émail en passant par la sculpture et l'estampe. L'imaginaire chevaleresque et les références antiques se mêlent alors pour exalter le pouvoir et la noblesse, au moment même où le choc des grands conflits oblige à revoir la place du cavalier et la pratique de l'équitation. Les aspirations à apparaître comme le "bel homme à cheval" se cristallisent surtout autour du rêve, parfois devenu réalité, de la statue équestre monumentale.
Dans la France de la Renaissance, le portrait équestre se décline sous toutes les formes, de la peinture à l'émail en passant par la sculpture et l'estampe. L'imaginaire chevaleresque et les références antiques se mêlent alors pour exalter le pouvoir et la noblesse, au moment même où le choc des grands conflits oblige à revoir la place du cavalier et la pratique de l'équitation. Les aspirations à apparaître comme le "bel homme à cheval" se cristallisent surtout autour du rêve, parfois devenu réalité, de la statue équestre monumentale.