Un certain mois d'avril à Adana

Par : Daniel Arsand

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  • Nombre de pages370
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.38 kg
  • Dimensions13,6 cm × 21,1 cm × 2,5 cm
  • ISBN978-2-08-125865-5
  • EAN9782081258655
  • Date de parution31/08/2011
  • ÉditeurFlammarion

Résumé

Nous sommes en avril 1909 à Adana, au sud de la Turquie. Adana, l'opulente plaine de Cilicie, ses champs de coton et ses vergers, le fleuve Seyhan, la mer Méditerranée. Qui aurait pu prévoir que des massacres ravageraient cette terre ? Que la folie saisirait le parti Union et Progrès ? Aucune union en vérité, aucun progrès. Il y a là des amis, des familles, des bergers, le poète Diran Mélikian, Atom Papazian le joaillier, Vahan le révolutionnaire.
Ils assistent à la montée de la haine et de l'intolérance. Certains prient, d'autres prennent les armes et combattent. La mort frappera la plupart, l'exil sera le lot de certains. C'est toute la puissance du roman de Daniel Arsand de réinventer une ville et d'évoquer le destin d'un peuple. De donner un visage à l'Histoire.
Nous sommes en avril 1909 à Adana, au sud de la Turquie. Adana, l'opulente plaine de Cilicie, ses champs de coton et ses vergers, le fleuve Seyhan, la mer Méditerranée. Qui aurait pu prévoir que des massacres ravageraient cette terre ? Que la folie saisirait le parti Union et Progrès ? Aucune union en vérité, aucun progrès. Il y a là des amis, des familles, des bergers, le poète Diran Mélikian, Atom Papazian le joaillier, Vahan le révolutionnaire.
Ils assistent à la montée de la haine et de l'intolérance. Certains prient, d'autres prennent les armes et combattent. La mort frappera la plupart, l'exil sera le lot de certains. C'est toute la puissance du roman de Daniel Arsand de réinventer une ville et d'évoquer le destin d'un peuple. De donner un visage à l'Histoire.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3/5
sur 2 notes dont 1 avis lecteur
Un certain mois d'avril 1915
Le silence, c’est ce dont on a besoin en refermant ce livre. Après les mots de l’auteur, après la violence des faits, seul le silence permet de revenir au calme. Car entrer dans le récit, c’est entrer dans la ville d’Adana à la veille de Pâques 1908. On y découvre une communauté arménienne présente depuis des siècles en Cilicie et au passé riche. Mais un événement va déclencher la haine et le ressentiment entre communauté turque et arménienne. Avec des phrases ciselées, des adjectifs évocateurs, l’auteur nous plonge peu à peu au coeur du drame. Avec beaucoup de poésie, il nous décrit le massacre d’Adana et des villages environnant. Les noms des personnages sont répétés, comme une litanie, afin qu’il se gravent dans nos mémoires et que l’on ne les oublie pas. Loin de toute polémique politicienne, l’écrivain romance le massacre d’Adana. Ainsi, il ne sera plus couvert de silence. Un roman fort sur une page d’histoire sombre. L’image que je reteindrai : Celle du train arrêté en gare d’Adana, mais qui, le dernier matin, ne démarrera pas. https://alexmotamots.wordpress.com/2015/05/15/un-certain-mois-davril-a-adana-daniel-arsand
Le silence, c’est ce dont on a besoin en refermant ce livre. Après les mots de l’auteur, après la violence des faits, seul le silence permet de revenir au calme. Car entrer dans le récit, c’est entrer dans la ville d’Adana à la veille de Pâques 1908. On y découvre une communauté arménienne présente depuis des siècles en Cilicie et au passé riche. Mais un événement va déclencher la haine et le ressentiment entre communauté turque et arménienne. Avec des phrases ciselées, des adjectifs évocateurs, l’auteur nous plonge peu à peu au coeur du drame. Avec beaucoup de poésie, il nous décrit le massacre d’Adana et des villages environnant. Les noms des personnages sont répétés, comme une litanie, afin qu’il se gravent dans nos mémoires et que l’on ne les oublie pas. Loin de toute polémique politicienne, l’écrivain romance le massacre d’Adana. Ainsi, il ne sera plus couvert de silence. Un roman fort sur une page d’histoire sombre. L’image que je reteindrai : Celle du train arrêté en gare d’Adana, mais qui, le dernier matin, ne démarrera pas. https://alexmotamots.wordpress.com/2015/05/15/un-certain-mois-davril-a-adana-daniel-arsand
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