Né à Prague le 3 décembre 1875, Rainer Maria Rilke mène une existence errante et solitaire malgré ses rencontres avec Lou Andreas-Salomé en 1896 et Clara Westhoff, élève de Rodin qu'il épouse en 1901. Secrétaire de Rodin, puis traducteur de Gide, il meurt en Suisse le 29 décembre 1926.
Journaux de jeunesse
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- Nombre de pages274
- PrésentationBroché
- Poids0.29 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 1,9 cm
- ISBN2-02-010941-7
- EAN9782020109413
- Date de parution01/10/1989
- CollectionLe don des langues
- ÉditeurSeuil
Résumé
Les Journaux de jeunesse (Tagebücher aus der Frühzeit) de Rilke, écrit entre 1898 et 1900, comportent trois parties : le Journal florentin et les Journaux dits de Schmargendorf et de Worpswede. Ces deux derniers, les plus riches constituent l'un des ultimes grands inédits à offrir au public français, en attendant la parution en langue originale du journal des dernières années. Rilke, à vingt-trois ans, était un poète pragois de langue allemande qui avait déjà publié quatre recueils, aux dons évidents, et qui était allé chercher à Munich une atmosphère plus propice à son travail.
Il y avait rencontré, en mai 1987, Lou Andreas-Salomé, rencontre qui fut pour lui une seconde naissance. Et c'est pour Lou, pour se montrer digne d'elle, qu'il rédigea ses journaux. Le Journal florentin révèle un jeune homme encore presque uniquement préoccupé d'art, mais déjà merveilleusement attentif et doué pour l'expression. Au moment des journaux suivants, deux événements décisifs ont hâté sa maturation : les voyages en Russie, avec Lou, puis la découverte de Worpswede, un Barbizon nordique où Rilke, entouré de peintres de son âge, apprend à scruter le monde, la nature et les êtres avec une attention de plus en plus aiguë et fervente.
C'est là aussi qu'il rencontre Clara Westhoff, sa future femme, qui l'amènera à Rodin, et à Paris. La lecture de ces pages aide à mieux apprécier l'heureuse métamorphose d'un virtuose parfois plaintif en un authentique grand poète.
Il y avait rencontré, en mai 1987, Lou Andreas-Salomé, rencontre qui fut pour lui une seconde naissance. Et c'est pour Lou, pour se montrer digne d'elle, qu'il rédigea ses journaux. Le Journal florentin révèle un jeune homme encore presque uniquement préoccupé d'art, mais déjà merveilleusement attentif et doué pour l'expression. Au moment des journaux suivants, deux événements décisifs ont hâté sa maturation : les voyages en Russie, avec Lou, puis la découverte de Worpswede, un Barbizon nordique où Rilke, entouré de peintres de son âge, apprend à scruter le monde, la nature et les êtres avec une attention de plus en plus aiguë et fervente.
C'est là aussi qu'il rencontre Clara Westhoff, sa future femme, qui l'amènera à Rodin, et à Paris. La lecture de ces pages aide à mieux apprécier l'heureuse métamorphose d'un virtuose parfois plaintif en un authentique grand poète.
Les Journaux de jeunesse (Tagebücher aus der Frühzeit) de Rilke, écrit entre 1898 et 1900, comportent trois parties : le Journal florentin et les Journaux dits de Schmargendorf et de Worpswede. Ces deux derniers, les plus riches constituent l'un des ultimes grands inédits à offrir au public français, en attendant la parution en langue originale du journal des dernières années. Rilke, à vingt-trois ans, était un poète pragois de langue allemande qui avait déjà publié quatre recueils, aux dons évidents, et qui était allé chercher à Munich une atmosphère plus propice à son travail.
Il y avait rencontré, en mai 1987, Lou Andreas-Salomé, rencontre qui fut pour lui une seconde naissance. Et c'est pour Lou, pour se montrer digne d'elle, qu'il rédigea ses journaux. Le Journal florentin révèle un jeune homme encore presque uniquement préoccupé d'art, mais déjà merveilleusement attentif et doué pour l'expression. Au moment des journaux suivants, deux événements décisifs ont hâté sa maturation : les voyages en Russie, avec Lou, puis la découverte de Worpswede, un Barbizon nordique où Rilke, entouré de peintres de son âge, apprend à scruter le monde, la nature et les êtres avec une attention de plus en plus aiguë et fervente.
C'est là aussi qu'il rencontre Clara Westhoff, sa future femme, qui l'amènera à Rodin, et à Paris. La lecture de ces pages aide à mieux apprécier l'heureuse métamorphose d'un virtuose parfois plaintif en un authentique grand poète.
Il y avait rencontré, en mai 1987, Lou Andreas-Salomé, rencontre qui fut pour lui une seconde naissance. Et c'est pour Lou, pour se montrer digne d'elle, qu'il rédigea ses journaux. Le Journal florentin révèle un jeune homme encore presque uniquement préoccupé d'art, mais déjà merveilleusement attentif et doué pour l'expression. Au moment des journaux suivants, deux événements décisifs ont hâté sa maturation : les voyages en Russie, avec Lou, puis la découverte de Worpswede, un Barbizon nordique où Rilke, entouré de peintres de son âge, apprend à scruter le monde, la nature et les êtres avec une attention de plus en plus aiguë et fervente.
C'est là aussi qu'il rencontre Clara Westhoff, sa future femme, qui l'amènera à Rodin, et à Paris. La lecture de ces pages aide à mieux apprécier l'heureuse métamorphose d'un virtuose parfois plaintif en un authentique grand poète.