Un thème grave, d’actualité, abordé de façon frontale, dans un roman louable dans la démarche, bien écrit, mais peut être un peu trop manichéen à mon goût (et peu crédible aussi, ou alors les deux héroïnes, mère et fille, vivent au pays des Bisounours !).
Comment ne pas connaître de nos jours, le problème de la maltraitance animale, alors que les associations militantes sont de plus en plus nombreuses, et dénoncent fréquemment les sévices qui ont cours principalement dans les transports et dans les abattoirs ?
La prise de conscience radicale qui s’opère chez Julia et Alice et qui va jusqu’à les empêcher de manger, de dormir, de travailler, bref de vivre, du jour au lendemain laisse également le lecteur un peu perplexe…
Mais c’est cependant un roman agréable, dont on a envie de connaître le dénouement, et qui a au moins l’avantage de sensibiliser le public adolescent à un débat brûlant ( et parfois malheureusement sectaire) : faut-il se sentir coupable de ne pas être végétarien de nos jours ?
Un thème grave, d’actualité, abordé de façon frontale, dans un roman louable dans la démarche, bien écrit, mais peut être un peu trop manichéen à mon goût (et peu crédible aussi, ou alors les deux héroïnes, mère et fille, vivent au pays des Bisounours !).
Comment ne pas connaître de nos jours, le problème de la maltraitance animale, alors que les associations militantes sont de plus en plus nombreuses, et dénoncent fréquemment les sévices qui ont cours principalement dans les transports et dans les abattoirs ?
La prise de conscience radicale qui s’opère chez Julia et Alice et qui va jusqu’à les empêcher de manger, de dormir, de travailler, bref de vivre, du jour au lendemain laisse également le lecteur un peu perplexe…
Mais c’est cependant un roman agréable, dont on a envie de connaître le dénouement, et qui a au moins l’avantage de sensibiliser le public adolescent à un débat brûlant ( et parfois malheureusement sectaire) : faut-il se sentir coupable de ne pas être végétarien de nos jours ?