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Lorsqu’un chien fait son apparition au manoir Vranstock, Lester est fou de joie ! Ses parents adoptifs, Adèle I. Vranstock et Ignace Bronchon, beaucoup moins... particulièrement depuis que le fameux chien, baptisé Secret, passe ses nuits à aboyer. Mais pourquoi Secret aboie-t-il ainsi ? Est-ce parce qu’il souffre de la disparition des son ancien maître, le vieux et richissime Placid Mac Abbey dont les deux enfants se battent à présent comme chien et chat pour toucher l’héritage ? Ou bien, Secret cacherait-il un secret ? Lester se retrouve mêlé, grâce à son nouveau compagnon, à un fabuleux jeu de piste, orchestré par le regretté et fantaisiste Placid avant sa mort : un défi lancé à ses enfants mais aussi à tous les habitants de Livid City dont le destin pourrait bien être transformé par les dernières volontés du vieil homme...
Les aventures d'un écrivain fantôle
Après la fin du tome 2, tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes au manoir Vanstrock, puisqu’Ignace et Adèle étaient devenus les parents – un peu particuliers, certes – de Les, et que les parents biologiques et indignes du jeune auteur avaient été mis hors d’état de lui nuire. Que se passe-t-il donc dans ce troisième tome ?
Et bien…. Ignace est allergique. Et pas qu’un peu. A quoi ? Aux poils de chats. Certes, ce n’est pas nouveau, c’est juste bien plus grave – surtout que le chat de la maison a disparu ! Quel peut être la cause de tels éternuements ?
Quant à Les, comme presque tous les enfants du monde, il veut un chien, il le veut d’autant plus qu’il en a trouvé un. Restent à convaincre l’ensemble des habitants du manoir, et ce n’est pas gagné.
Reste aussi à suivre une curieuse chasse au trésor, opposant un frère et une soeur autour de l’héritage de leur père, que l’un et l’autre avait totalement oublié jusque là. Je parle de leur père, pas de l’héritage. Je pourrai reprocher à la fin de cette histoire d’être un peu trop moraliste et heureuse pour être crédible (après tout, nous sommes dans un livre de littérature jeunesse américain), c’est bien le seul bémol que j’adresserai à cette série, toujours drôle et inventive.
PS : ne ratez pas l’élucidation de l’allergie d’Ignace !