30 ans de ZEP, même pas mal !. Aux Charmes de la Villeneuve

Par : Emmanuèle Buffin, Hélène Moreau

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  • Nombre de pages117
  • PrésentationBroché
  • Poids0.15 kg
  • Dimensions14,5 cm × 21,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-35345-130-2
  • EAN9782353451302
  • Date de parution09/06/2015
  • CollectionTémoignage
  • ÉditeurTom Pousse
  • PréfacierYvanne Chenouf

Résumé

On parle beaucoup des «quartiers», des «zones sensibles» : enseigner y serait difficile, voire mission impossible. Y exercer serait presque devenu une punition ? Ce témoignage d'une enseignante qui a fait l'essentiel de sa carrière à Grenoble, dans ce qu'on appelait encore récemment une ZEP (Zone d'Education Prioritaire), est intéressant et réconfortant à plus d'un titre : Non, ce n'était pas l'enfer tous les jours, même si ce n'était pas de tout repos.
Non, l'ascenseur républicain ne fonctionne pas uniquement en direction du sous-sol... Non, le métissage ne rend pas nécessairement les classes ingérables. Oui, il est possible d'y faire la classe, et c'est même un des rares endroits où le travail en équipe est une réalité vraiment efficace. Oui, le niveau hétérogène des élèves peut être un atout plutôt qu'une difficulté, et rendre le métier passionnant.
Oui, des classes à plusieurs niveaux peuvent être un choix pédagogique intéressant. Les ZEP n'existent plus, mais les problèmes et les questions demeurent. Un regard lucide et sensible sur la vie d'une école, d'un quartier, de ses habitants. Un témoignage qui ouvre des perspectives pour les enseignants sans leur faire la leçon. Un livre propre à valoriser un métier dont nul ne peut nier qu'il est difficile, mais qui peut être aussi exaltant.
On parle beaucoup des «quartiers», des «zones sensibles» : enseigner y serait difficile, voire mission impossible. Y exercer serait presque devenu une punition ? Ce témoignage d'une enseignante qui a fait l'essentiel de sa carrière à Grenoble, dans ce qu'on appelait encore récemment une ZEP (Zone d'Education Prioritaire), est intéressant et réconfortant à plus d'un titre : Non, ce n'était pas l'enfer tous les jours, même si ce n'était pas de tout repos.
Non, l'ascenseur républicain ne fonctionne pas uniquement en direction du sous-sol... Non, le métissage ne rend pas nécessairement les classes ingérables. Oui, il est possible d'y faire la classe, et c'est même un des rares endroits où le travail en équipe est une réalité vraiment efficace. Oui, le niveau hétérogène des élèves peut être un atout plutôt qu'une difficulté, et rendre le métier passionnant.
Oui, des classes à plusieurs niveaux peuvent être un choix pédagogique intéressant. Les ZEP n'existent plus, mais les problèmes et les questions demeurent. Un regard lucide et sensible sur la vie d'une école, d'un quartier, de ses habitants. Un témoignage qui ouvre des perspectives pour les enseignants sans leur faire la leçon. Un livre propre à valoriser un métier dont nul ne peut nier qu'il est difficile, mais qui peut être aussi exaltant.