25 lettres au président Mohamed Bazoum. Philosophe, résitant, prisonnier
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- Nombre de pages220
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.28 kg
- ISBN978-2-38409-298-7
- EAN9782384092987
- Date de parution05/12/2024
- ÉditeurKarthala
- PréfacierJean-Pierre Olivier de Sardan
Résumé
Depuis le 26 juillet 2023, le président du Niger Mohamed Bazoum est séquestré dans deux pièces de sa résidence au Palais de la République. Il y vit reclus en compagnie de son épouse, et totalement coupé du monde extérieur par les putschistes qui l'ont renversé et dont il est l'otage. Convaincu qu'il tient sa légitimité du peuple nigérien, il refuse catégoriquement de démissionner. A l'émotion et à la mobilisation internationale des premiers mois semble succéder une forme de résignation.
Pour lutter contre le risque de l'oubli, l'autre nom de l'abandon, 26 personnalités politiques, publiques et de la société civile ont décidé de s'adresser directement à lui. Ils sont femmes et hommes pour la plupart africains, du monde politique, de la culture, du droit et de la justice, ayant ou non des liens avec Mohamed Bazoum. Tous ont en commun une conviction et un engagement résolu en faveur de la démocratie, de l'Etat de droit et des droits humains.
Leurs lettres sont diverses, à l'image de ceux qui prennent la plume. Chaque lettre est un message unique, qui reflète un caractère, une sensibilité. Avec émotion, colère aussi, certains auteurs évoquent ce qui leur semble essentiel, des souvenirs, des moments heureux, des combats partagés, leur chagrin devant la souffrance d'un frère. L'exercice prend alors une dimension consolatrice. Certains autres sont plus analytiques et se projettent dans l'avenir.
Entre les lignes, s'esquisse le portrait de celui auquel les missives sont dédiées, un être de principes, authentiquement démocrate, soucieux de progrès, pétri de valeurs et de convictions. Ces lettres réunies en un même ouvrage sont autant de messages puissants que de manifestions de soutien à l'homme et au combat qu'il incarne désormais, celui du droit contre la force, celui de la démocratie contre la régression.
Face au temps qui passe, inexorablement, ces écrits se veulent un cri d'alarme, une alerte et un appel urgent à sa libération.
Pour lutter contre le risque de l'oubli, l'autre nom de l'abandon, 26 personnalités politiques, publiques et de la société civile ont décidé de s'adresser directement à lui. Ils sont femmes et hommes pour la plupart africains, du monde politique, de la culture, du droit et de la justice, ayant ou non des liens avec Mohamed Bazoum. Tous ont en commun une conviction et un engagement résolu en faveur de la démocratie, de l'Etat de droit et des droits humains.
Leurs lettres sont diverses, à l'image de ceux qui prennent la plume. Chaque lettre est un message unique, qui reflète un caractère, une sensibilité. Avec émotion, colère aussi, certains auteurs évoquent ce qui leur semble essentiel, des souvenirs, des moments heureux, des combats partagés, leur chagrin devant la souffrance d'un frère. L'exercice prend alors une dimension consolatrice. Certains autres sont plus analytiques et se projettent dans l'avenir.
Entre les lignes, s'esquisse le portrait de celui auquel les missives sont dédiées, un être de principes, authentiquement démocrate, soucieux de progrès, pétri de valeurs et de convictions. Ces lettres réunies en un même ouvrage sont autant de messages puissants que de manifestions de soutien à l'homme et au combat qu'il incarne désormais, celui du droit contre la force, celui de la démocratie contre la régression.
Face au temps qui passe, inexorablement, ces écrits se veulent un cri d'alarme, une alerte et un appel urgent à sa libération.
Depuis le 26 juillet 2023, le président du Niger Mohamed Bazoum est séquestré dans deux pièces de sa résidence au Palais de la République. Il y vit reclus en compagnie de son épouse, et totalement coupé du monde extérieur par les putschistes qui l'ont renversé et dont il est l'otage. Convaincu qu'il tient sa légitimité du peuple nigérien, il refuse catégoriquement de démissionner. A l'émotion et à la mobilisation internationale des premiers mois semble succéder une forme de résignation.
Pour lutter contre le risque de l'oubli, l'autre nom de l'abandon, 26 personnalités politiques, publiques et de la société civile ont décidé de s'adresser directement à lui. Ils sont femmes et hommes pour la plupart africains, du monde politique, de la culture, du droit et de la justice, ayant ou non des liens avec Mohamed Bazoum. Tous ont en commun une conviction et un engagement résolu en faveur de la démocratie, de l'Etat de droit et des droits humains.
Leurs lettres sont diverses, à l'image de ceux qui prennent la plume. Chaque lettre est un message unique, qui reflète un caractère, une sensibilité. Avec émotion, colère aussi, certains auteurs évoquent ce qui leur semble essentiel, des souvenirs, des moments heureux, des combats partagés, leur chagrin devant la souffrance d'un frère. L'exercice prend alors une dimension consolatrice. Certains autres sont plus analytiques et se projettent dans l'avenir.
Entre les lignes, s'esquisse le portrait de celui auquel les missives sont dédiées, un être de principes, authentiquement démocrate, soucieux de progrès, pétri de valeurs et de convictions. Ces lettres réunies en un même ouvrage sont autant de messages puissants que de manifestions de soutien à l'homme et au combat qu'il incarne désormais, celui du droit contre la force, celui de la démocratie contre la régression.
Face au temps qui passe, inexorablement, ces écrits se veulent un cri d'alarme, une alerte et un appel urgent à sa libération.
Pour lutter contre le risque de l'oubli, l'autre nom de l'abandon, 26 personnalités politiques, publiques et de la société civile ont décidé de s'adresser directement à lui. Ils sont femmes et hommes pour la plupart africains, du monde politique, de la culture, du droit et de la justice, ayant ou non des liens avec Mohamed Bazoum. Tous ont en commun une conviction et un engagement résolu en faveur de la démocratie, de l'Etat de droit et des droits humains.
Leurs lettres sont diverses, à l'image de ceux qui prennent la plume. Chaque lettre est un message unique, qui reflète un caractère, une sensibilité. Avec émotion, colère aussi, certains auteurs évoquent ce qui leur semble essentiel, des souvenirs, des moments heureux, des combats partagés, leur chagrin devant la souffrance d'un frère. L'exercice prend alors une dimension consolatrice. Certains autres sont plus analytiques et se projettent dans l'avenir.
Entre les lignes, s'esquisse le portrait de celui auquel les missives sont dédiées, un être de principes, authentiquement démocrate, soucieux de progrès, pétri de valeurs et de convictions. Ces lettres réunies en un même ouvrage sont autant de messages puissants que de manifestions de soutien à l'homme et au combat qu'il incarne désormais, celui du droit contre la force, celui de la démocratie contre la régression.
Face au temps qui passe, inexorablement, ces écrits se veulent un cri d'alarme, une alerte et un appel urgent à sa libération.