... et le 16 septembre 1989, le cyclone Hugo s'acharnait sur les dernières galeries et façades en bois de Pointe-à-Pitre. L'architecture coloniale de la Guadeloupe, déjà bien endommagée par celui de 1928,
recevait un nouveau et fatidique coup de boutoir.
Après avoir été un peu boudée par les Guadeloupéens eux-mêmes, l'Histoire était cette fois mise à mal par les éléments.
Titrant sur " La Colonie ", cet ouvrage n'a pas pour objet de réveiller les rancœurs. Abondamment illustré, il souhaite donner à voir plus qu'à juger. Ainsi, en fouinant dans les collections les plus secrètes, vieux papiers poussiéreux et albums de famille, l'auteur a rassemblé pour ces pages une somme de documents photographiques, témoignages irréfutables sur les années 1900 en Guadeloupe et dans les dépendances. Des pionniers de la plaque sensible, nommés Phos ou Caillé, venaient alors de lancer sous les tropiques l' " industrie " de la carte postale... Des cartes " reportages " plus que des cartes touristiques, puisque l'époque n'était pas encore, loin s'en faut, totalement vouée aux vacances...
... et le 16 septembre 1989, le cyclone Hugo s'acharnait sur les dernières galeries et façades en bois de Pointe-à-Pitre. L'architecture coloniale de la Guadeloupe, déjà bien endommagée par celui de 1928,
recevait un nouveau et fatidique coup de boutoir.
Après avoir été un peu boudée par les Guadeloupéens eux-mêmes, l'Histoire était cette fois mise à mal par les éléments.
Titrant sur " La Colonie ", cet ouvrage n'a pas pour objet de réveiller les rancœurs. Abondamment illustré, il souhaite donner à voir plus qu'à juger. Ainsi, en fouinant dans les collections les plus secrètes, vieux papiers poussiéreux et albums de famille, l'auteur a rassemblé pour ces pages une somme de documents photographiques, témoignages irréfutables sur les années 1900 en Guadeloupe et dans les dépendances. Des pionniers de la plaque sensible, nommés Phos ou Caillé, venaient alors de lancer sous les tropiques l' " industrie " de la carte postale... Des cartes " reportages " plus que des cartes touristiques, puisque l'époque n'était pas encore, loin s'en faut, totalement vouée aux vacances...