Né à Sète le 30 octobre 1871, Paul Valéry fait la connaissance de Pierre Louÿs et de Gide avec qui il fréquente le salon de Mallarmé. Rédacteur au ministère de la Guerre, puis secrétaire particulier d'un administrateur de l'agence Havas, il accède aux cercles fermés de l'information et de la finance. Elu à l'Académie française en 1925, il est nommé professeur de poétique au Collège de France en 1937. Il meurt le 20 juillet 1945 à Paris où on lui fait des funérailles nationales.
1894. Carnet inédit dit "Carnet de Londres"
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- Nombre de pages148
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.315 kg
- Dimensions17,0 cm × 21,5 cm × 1,3 cm
- ISBN2-07-077587-9
- EAN9782070775873
- Date de parution23/06/2005
- CollectionBlanche
- ÉditeurGallimard
- Directeur de publicationFlorence de Lussy
Résumé
De dimensions plus que modestes, ce carnet " anglais " se lit comme un rébus qui, une fois déchiffré, ouvre les portes du secret bien gardé d'un esprit porté à l'incandescence et sur le point d'engendrer, sous les figures de " Teste " et de " Léonard ", deux " cerveaux monstrueux ". Tous les ingrédients de ces deux textes fameux sont ici resserrés, sous une forme elliptique mais frappante ; et une succession de croquis livre toutes les clefs du mythe valéryen.
Le Valéry de 1894 a dit adieu à la littérature. Son but n'est plus d'être mais de pouvoir être. Si ses maîtres sont alors Degas, Mallarmé et Wagner, ses dieux sont deux " inventeurs " : Faraday et Léonard, dont il reprend la devise " hostinato rigore ". Le Vinci des Carnets de l'Institut est le rival par excellence ; et de Faraday, l'inventeur de l'image des " lignes de force " dans un champ électrique, Valéry reçut la grande commotion des trouvailles qui révolutionnèrent la physique de son temps.
Le Valéry de cette époque est un jeune homme de vingt-deux ans traversé d'électricité.
Le Valéry de 1894 a dit adieu à la littérature. Son but n'est plus d'être mais de pouvoir être. Si ses maîtres sont alors Degas, Mallarmé et Wagner, ses dieux sont deux " inventeurs " : Faraday et Léonard, dont il reprend la devise " hostinato rigore ". Le Vinci des Carnets de l'Institut est le rival par excellence ; et de Faraday, l'inventeur de l'image des " lignes de force " dans un champ électrique, Valéry reçut la grande commotion des trouvailles qui révolutionnèrent la physique de son temps.
Le Valéry de cette époque est un jeune homme de vingt-deux ans traversé d'électricité.
De dimensions plus que modestes, ce carnet " anglais " se lit comme un rébus qui, une fois déchiffré, ouvre les portes du secret bien gardé d'un esprit porté à l'incandescence et sur le point d'engendrer, sous les figures de " Teste " et de " Léonard ", deux " cerveaux monstrueux ". Tous les ingrédients de ces deux textes fameux sont ici resserrés, sous une forme elliptique mais frappante ; et une succession de croquis livre toutes les clefs du mythe valéryen.
Le Valéry de 1894 a dit adieu à la littérature. Son but n'est plus d'être mais de pouvoir être. Si ses maîtres sont alors Degas, Mallarmé et Wagner, ses dieux sont deux " inventeurs " : Faraday et Léonard, dont il reprend la devise " hostinato rigore ". Le Vinci des Carnets de l'Institut est le rival par excellence ; et de Faraday, l'inventeur de l'image des " lignes de force " dans un champ électrique, Valéry reçut la grande commotion des trouvailles qui révolutionnèrent la physique de son temps.
Le Valéry de cette époque est un jeune homme de vingt-deux ans traversé d'électricité.
Le Valéry de 1894 a dit adieu à la littérature. Son but n'est plus d'être mais de pouvoir être. Si ses maîtres sont alors Degas, Mallarmé et Wagner, ses dieux sont deux " inventeurs " : Faraday et Léonard, dont il reprend la devise " hostinato rigore ". Le Vinci des Carnets de l'Institut est le rival par excellence ; et de Faraday, l'inventeur de l'image des " lignes de force " dans un champ électrique, Valéry reçut la grande commotion des trouvailles qui révolutionnèrent la physique de son temps.
Le Valéry de cette époque est un jeune homme de vingt-deux ans traversé d'électricité.