1878, carnets de campagne en Nouvelle-Calédonie. Précédé de La guerre d'Ataï, récit kanak
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages143
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.185 kg
- Dimensions12,6 cm × 20,0 cm × 1,3 cm
- ISBN979-10-92011-02-9
- EAN9791092011029
- Date de parution17/09/2013
- ÉditeurAnacharsis
Résumé
En 1878, les Kanak de Nouvelle-Calédonie, écrasés par la machine coloniale française, se révoltent. La France fait donner la troupe et c'est ainsi que Michel Millet, simple artilleur, se retrouve à pousser, tirer, porter, hisser son pesant canon dans les forêts tropicales. Il consigne dans ses Carnets de campagnes ses marches et contre-marches dans la tourmente de cette Grande insurrection noyée dans le sang.
Mais les carnets de Michel Millet sont davantage qu'un simple document. Tout juste alphabétisé, il entre en littérature par effraction. Ignorant toutes les conventions il se fabrique une écriture sans équivalent, qui parvient, à force de volonté, à une puissance évocatrice saisissante. Et ses phrases, en touches impressionnistes, souvent pleines d'humour, peignent une armée française en campagne évoquant comme par inadvertance le Casse-pipe de Céline.
La Guerre d'Ataï est encore aujourd'hui dans les mémoires ; la traduction d'un récit contemporain kanak face au texte de Millet révèle, en contrepoint de l'écriture au ras du sol du soldat français, une tout autre mémoire de ces événements.
Mais les carnets de Michel Millet sont davantage qu'un simple document. Tout juste alphabétisé, il entre en littérature par effraction. Ignorant toutes les conventions il se fabrique une écriture sans équivalent, qui parvient, à force de volonté, à une puissance évocatrice saisissante. Et ses phrases, en touches impressionnistes, souvent pleines d'humour, peignent une armée française en campagne évoquant comme par inadvertance le Casse-pipe de Céline.
La Guerre d'Ataï est encore aujourd'hui dans les mémoires ; la traduction d'un récit contemporain kanak face au texte de Millet révèle, en contrepoint de l'écriture au ras du sol du soldat français, une tout autre mémoire de ces événements.
En 1878, les Kanak de Nouvelle-Calédonie, écrasés par la machine coloniale française, se révoltent. La France fait donner la troupe et c'est ainsi que Michel Millet, simple artilleur, se retrouve à pousser, tirer, porter, hisser son pesant canon dans les forêts tropicales. Il consigne dans ses Carnets de campagnes ses marches et contre-marches dans la tourmente de cette Grande insurrection noyée dans le sang.
Mais les carnets de Michel Millet sont davantage qu'un simple document. Tout juste alphabétisé, il entre en littérature par effraction. Ignorant toutes les conventions il se fabrique une écriture sans équivalent, qui parvient, à force de volonté, à une puissance évocatrice saisissante. Et ses phrases, en touches impressionnistes, souvent pleines d'humour, peignent une armée française en campagne évoquant comme par inadvertance le Casse-pipe de Céline.
La Guerre d'Ataï est encore aujourd'hui dans les mémoires ; la traduction d'un récit contemporain kanak face au texte de Millet révèle, en contrepoint de l'écriture au ras du sol du soldat français, une tout autre mémoire de ces événements.
Mais les carnets de Michel Millet sont davantage qu'un simple document. Tout juste alphabétisé, il entre en littérature par effraction. Ignorant toutes les conventions il se fabrique une écriture sans équivalent, qui parvient, à force de volonté, à une puissance évocatrice saisissante. Et ses phrases, en touches impressionnistes, souvent pleines d'humour, peignent une armée française en campagne évoquant comme par inadvertance le Casse-pipe de Céline.
La Guerre d'Ataï est encore aujourd'hui dans les mémoires ; la traduction d'un récit contemporain kanak face au texte de Millet révèle, en contrepoint de l'écriture au ras du sol du soldat français, une tout autre mémoire de ces événements.