1809, les Français à Vienne. Chronique d'une occupation

Par : Robert Ouvrard

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  • Nombre de pages335
  • PrésentationBroché
  • Poids0.51 kg
  • Dimensions14,0 cm × 22,5 cm × 2,0 cm
  • ISBN978-2-84736-402-6
  • EAN9782847364026
  • Date de parution19/02/2009
  • CollectionLa Bibliothèque Napoléon
  • ÉditeurNouveau Monde
  • PréfacierThierry Lentz

Résumé

Le 14 mai 1809, quelques années après la première prise de la capitale des Habsbourg, Napoléon est de retour à Vienne. Cette seconde occupation s'avère plus longue que celle de 1805 et la ville doit être bombardée pour être conquise. L'administration dirigée par le général Andréossy, secondé par le " terrible " Savary toujours flanqué de son maître espion Schulmeister, prend des mesures drastiques pour maintenir l'ordre public, procéder sans douceur aux réquisitions et à l'approvisionnement des caisses de l'armée. Alors que les Français s'installent dans la ville désertée d'une partie de sa population, l'archiduc Charles parvient à placer le Danube entre ses troupes et celles de Napoléon. La guerre étant loin d'être finie et les opérations à venir s'annonçant périlleuses pour les envahisseurs, l'Empereur s'installe à Vienne pendant près de six mois. Ce sont ces longs mois d'occupation française en Autriche dont Robert Ouvrard a rédigé la chronique. Il y mêle, par une mise en scène pertinente, les témoignages français et autrichiens puisés dans les correspondances et les Mémoires de l'époque. On découvre ainsi les privations dont sont victimes les habitants les plus pauvres, dans les campagnes et dans les villes, et les pillages et exactions de toutes sortes que subissent les Autrichiens, soumis à l'occupant.
Le 14 mai 1809, quelques années après la première prise de la capitale des Habsbourg, Napoléon est de retour à Vienne. Cette seconde occupation s'avère plus longue que celle de 1805 et la ville doit être bombardée pour être conquise. L'administration dirigée par le général Andréossy, secondé par le " terrible " Savary toujours flanqué de son maître espion Schulmeister, prend des mesures drastiques pour maintenir l'ordre public, procéder sans douceur aux réquisitions et à l'approvisionnement des caisses de l'armée. Alors que les Français s'installent dans la ville désertée d'une partie de sa population, l'archiduc Charles parvient à placer le Danube entre ses troupes et celles de Napoléon. La guerre étant loin d'être finie et les opérations à venir s'annonçant périlleuses pour les envahisseurs, l'Empereur s'installe à Vienne pendant près de six mois. Ce sont ces longs mois d'occupation française en Autriche dont Robert Ouvrard a rédigé la chronique. Il y mêle, par une mise en scène pertinente, les témoignages français et autrichiens puisés dans les correspondances et les Mémoires de l'époque. On découvre ainsi les privations dont sont victimes les habitants les plus pauvres, dans les campagnes et dans les villes, et les pillages et exactions de toutes sortes que subissent les Autrichiens, soumis à l'occupant.