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  • Nombre de pages277
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.358 kg
  • Dimensions13,8 cm × 21,6 cm × 2,5 cm
  • ISBN978-2-36658-114-0
  • EAN9782366581140
  • Date de parution28/08/2014
  • ÉditeurKero
  • TraducteurCamille de Peretti

Résumé

"La mousse s'est transformée en vagues. Des vagues qui bondissaient par-dessus le récif, à l'autre bout de la plage. Ca n'était pas normal. La mer ne venait jamais aussi près. Les vagues ne se brisaient pas, elles ne s'affaissaient pas. Plus près. L'eau brune et grise. Brune ou grise. Des vagues par-dessus les conifères et qui se rapprochaient de notre chambre. Toutes ces vagues maintenant, chargeant, barattant.
Soudain folles et furieuses. Soudain menaçantes." Le matin du 26 décembre 2004, un tsunami frappe l'Océan indien. Sonali Deraniyagala, en vacances au Sri Lanka, son pays natal, en réchappe miraculeusement. Mais, de sa famille, elle est la seule. La vague lui a pris ses parents, son mari et ses deux petits garçons. Wave raconte l'histoire de ce jour, où elle a tout perdu, et de tous ceux qui ont suivi.
Les mois, les années lorsque l'insupportable déchirement du souvenir succède aux premiers moments d'horreur. La matière de ce livre, c'est la peine impalpable, indescriptible de la narratrice. Sonali Deraniyagala réussit un récit poétique, sans concession et incroyablement digne sur comment survivre à l'inimaginable. "Probablement l'un des ouvrages les plus émouvants écrits sur le deuil." The Guardian.
"Je n'ai pas pleuré en lisant Wave. J'ai cru que mon coeur allait s'arrêter de battre... Un livre inoubliable, impitoyable mais également, comme par défi, inondé de lumière. Extraordinaire." The New York Times Book Review. "Inoubliable... C'est un miracle que Deraniyagala ait survécu. Le fait qu'elle ait pu écrire de tels mémoires, ramenant ceux qu'elle aime à la vie de telle sorte qu'on entend leur respiration à chaque page, est également un miracle." Vanity Fair.
"La mousse s'est transformée en vagues. Des vagues qui bondissaient par-dessus le récif, à l'autre bout de la plage. Ca n'était pas normal. La mer ne venait jamais aussi près. Les vagues ne se brisaient pas, elles ne s'affaissaient pas. Plus près. L'eau brune et grise. Brune ou grise. Des vagues par-dessus les conifères et qui se rapprochaient de notre chambre. Toutes ces vagues maintenant, chargeant, barattant.
Soudain folles et furieuses. Soudain menaçantes." Le matin du 26 décembre 2004, un tsunami frappe l'Océan indien. Sonali Deraniyagala, en vacances au Sri Lanka, son pays natal, en réchappe miraculeusement. Mais, de sa famille, elle est la seule. La vague lui a pris ses parents, son mari et ses deux petits garçons. Wave raconte l'histoire de ce jour, où elle a tout perdu, et de tous ceux qui ont suivi.
Les mois, les années lorsque l'insupportable déchirement du souvenir succède aux premiers moments d'horreur. La matière de ce livre, c'est la peine impalpable, indescriptible de la narratrice. Sonali Deraniyagala réussit un récit poétique, sans concession et incroyablement digne sur comment survivre à l'inimaginable. "Probablement l'un des ouvrages les plus émouvants écrits sur le deuil." The Guardian.
"Je n'ai pas pleuré en lisant Wave. J'ai cru que mon coeur allait s'arrêter de battre... Un livre inoubliable, impitoyable mais également, comme par défi, inondé de lumière. Extraordinaire." The New York Times Book Review. "Inoubliable... C'est un miracle que Deraniyagala ait survécu. Le fait qu'elle ait pu écrire de tels mémoires, ramenant ceux qu'elle aime à la vie de telle sorte qu'on entend leur respiration à chaque page, est également un miracle." Vanity Fair.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4.3/5
sur 3 notes dont 3 avis lecteurs
Beau témoignage
Ma chronique: http://www.leslecturesdelily.com/2016/01/wave-ecrit-par-sonali-deraniyagala.html#more Extrait de mon avis: Wave est un témoignage bouleversant qui retrace le parcours d'une femme, Sonali Deraniyagala, suite à la perte de ses proches à cause du tsunami qui a touché le Sri Lanka en 2004. J'ai choisi ce livre, car je pensais en apprendre plus sur ce tragique événement. Je pensais lire comment l'auteure avait vécu les heures qui ont précédé et suivi le tsunami. Comment a-t-elle fait pour survivre, quel a été son combat sur place, ses ressentis, ses pensées, sa détresse... je pensais qu'elle m'aurait transmis des émotions et que j'aurais eu de l'empathie pour elle. Mais tout cela n'est pas présent dans ce livre, en tout cas, je n'ai pas été touchée pour ces raisons. La vague n'est présente que dans les premières pages et dès la 25ème tout est terminé, nous n'en saurons pas plus sur cette journée du 26 décembre. Sonali Deraniyagala nous apprend qu'elle a perdu son mari, ses deux fils et ses parents ce jour-là et elle en parle durant les 250 pages qui suivent. C'est plus un témoignage sur sa reconstruction, sa façon de continuer à vivre malgré l'absence des siens. Elle nous parle de sa rencontre avec l'homme qui deviendra son époux, elle revient sur leurs années de lycée, sur des anecdotes familiales, sur sa vie de maman. C'est touchant, c'est sûr, mais ça ne correspond pas à ce que je m'attendais à lire dans cet ouvrage. Pour lire la suite, rdv sur mon blog leslecturesdelily.com
Ma chronique: http://www.leslecturesdelily.com/2016/01/wave-ecrit-par-sonali-deraniyagala.html#more Extrait de mon avis: Wave est un témoignage bouleversant qui retrace le parcours d'une femme, Sonali Deraniyagala, suite à la perte de ses proches à cause du tsunami qui a touché le Sri Lanka en 2004. J'ai choisi ce livre, car je pensais en apprendre plus sur ce tragique événement. Je pensais lire comment l'auteure avait vécu les heures qui ont précédé et suivi le tsunami. Comment a-t-elle fait pour survivre, quel a été son combat sur place, ses ressentis, ses pensées, sa détresse... je pensais qu'elle m'aurait transmis des émotions et que j'aurais eu de l'empathie pour elle. Mais tout cela n'est pas présent dans ce livre, en tout cas, je n'ai pas été touchée pour ces raisons. La vague n'est présente que dans les premières pages et dès la 25ème tout est terminé, nous n'en saurons pas plus sur cette journée du 26 décembre. Sonali Deraniyagala nous apprend qu'elle a perdu son mari, ses deux fils et ses parents ce jour-là et elle en parle durant les 250 pages qui suivent. C'est plus un témoignage sur sa reconstruction, sa façon de continuer à vivre malgré l'absence des siens. Elle nous parle de sa rencontre avec l'homme qui deviendra son époux, elle revient sur leurs années de lycée, sur des anecdotes familiales, sur sa vie de maman. C'est touchant, c'est sûr, mais ça ne correspond pas à ce que je m'attendais à lire dans cet ouvrage. Pour lire la suite, rdv sur mon blog leslecturesdelily.com
5/5
Coup de coeur
L'histoire est lourde sentimentalement, bouleversante mais la plume de l'auteure est emprunte d'une certaine poésie qui permet de flotter entre la peine de cette femme face à la perte de l'ensemble de sa famille et la douceur des souvenirs qui resurgissent jour après jour. L'écriture est simple. A la lecture du résumé, il me semblait pourtant que j'aurais besoin de mouchoirs pour parvenir jusqu'à la fin de ce titre. Mais Sonali aborde ses souvenirs avec une certaine retenue qui tend à nous garder éloigner des larmes. C'est, d'une certaine façon, comme si elle voulait conserver une distance avec ses lecteurs pour qu'ils n'empiètent pas sur sa peine, qu'ils n'aient pas pitié d'elle. « En les perdant, j'ai perdu ma dignité ». C'est une lecture touchante, qui ne laisse pas indifférent. Lire la suite >>> http://sariahlit.blogspot.fr/2014/09/wave.html
L'histoire est lourde sentimentalement, bouleversante mais la plume de l'auteure est emprunte d'une certaine poésie qui permet de flotter entre la peine de cette femme face à la perte de l'ensemble de sa famille et la douceur des souvenirs qui resurgissent jour après jour. L'écriture est simple. A la lecture du résumé, il me semblait pourtant que j'aurais besoin de mouchoirs pour parvenir jusqu'à la fin de ce titre. Mais Sonali aborde ses souvenirs avec une certaine retenue qui tend à nous garder éloigner des larmes. C'est, d'une certaine façon, comme si elle voulait conserver une distance avec ses lecteurs pour qu'ils n'empiètent pas sur sa peine, qu'ils n'aient pas pitié d'elle. « En les perdant, j'ai perdu ma dignité ». C'est une lecture touchante, qui ne laisse pas indifférent. Lire la suite >>> http://sariahlit.blogspot.fr/2014/09/wave.html
Emouvant témoignage
L'écume, une écume blanche et mousseuse, c'est là la première chose que Sonali a vu de la fenêtre de son hôtel de bord de mer où elle passe des vacances de Noël en famille, dans son Sri Lanka natal. Pourtant l'océan ne devrait pas être si proche...C'est une énorme vague qui déferle, il faut fuir ! Sonali ne prend même pas le temps de prévenir ses parents qui occupent la chambre voisine. Elle presse son mari et ses deux petits garçons et toute la famille embarque dans une jeep qui fuit l'hôtel. Mais la vague, implacable, renverse la voiture. Sonali est séparée des siens, bringuebalée par l'océan, rejetée dans la boue et finalement retrouvée par deux hommes venus au secours des survivants. Hagarde, mutique, Sonali doit se rendre à l'évidence. En ce matin du 26 décembre 2004, elle a tout perdu. Steve, son mari, Vikram et Malli, ses fils, et ses parents ont tous été engloutis par le tsunami. Bien sûr il y a la douleur, la culpabilité, la honte, la folie, la rage, le désir de mourir...tous ces sentiments qui traversent Sonali, la survivante. Sa perte est immense et irréparable. Elle a survécu, il va lui falloir vivre avec l'absence, avec les souvenirs, quand elle voudrait tout oublier pour ne plus souffrir. Pourtant, son récit n'est pas larmoyant. Le sentiment qui prédomine est l'amour. Sonali nous fait partager son bonheur d'avant le drame. Vikram, la passionné d'oiseaux qui posait sans cesse des questions sur le monde qui l'entourait , Malli, l'artiste toujours joyeux, Steven, rencontré à la fac, son père, avocat austère mais bibliophile averti, sa mère collectionneuse de saris qui se désespérait de son manque de coquetterie, reviennent à la vie lorsqu'elle cesse de s'interdire de penser à eux pour ne pas être submergée par le chagrin. Grâce à eux elle était une mère, une épouse, une fille et depuis leur disparition, elle n'est plus rien que le monstre qui continue à vivre quand tous les autres sont morts. Comment faire son deuil ? Qui pleurer ? Comment continuer, seule ? Ecrire pour se reconstruire, écrire pour guérir, écrire pour garder la trace de ceux qui ne sont plus là, c'est là le choix de Sonali DERANIYAGALA qui livre un témoignage très émouvant, un hommage digne et pudique à sa magnifique famille. Une lecture certes difficile mais éclairée par Vikram et Malli, deux petits garçons curieux de tout, turbulents et joyeux.
L'écume, une écume blanche et mousseuse, c'est là la première chose que Sonali a vu de la fenêtre de son hôtel de bord de mer où elle passe des vacances de Noël en famille, dans son Sri Lanka natal. Pourtant l'océan ne devrait pas être si proche...C'est une énorme vague qui déferle, il faut fuir ! Sonali ne prend même pas le temps de prévenir ses parents qui occupent la chambre voisine. Elle presse son mari et ses deux petits garçons et toute la famille embarque dans une jeep qui fuit l'hôtel. Mais la vague, implacable, renverse la voiture. Sonali est séparée des siens, bringuebalée par l'océan, rejetée dans la boue et finalement retrouvée par deux hommes venus au secours des survivants. Hagarde, mutique, Sonali doit se rendre à l'évidence. En ce matin du 26 décembre 2004, elle a tout perdu. Steve, son mari, Vikram et Malli, ses fils, et ses parents ont tous été engloutis par le tsunami. Bien sûr il y a la douleur, la culpabilité, la honte, la folie, la rage, le désir de mourir...tous ces sentiments qui traversent Sonali, la survivante. Sa perte est immense et irréparable. Elle a survécu, il va lui falloir vivre avec l'absence, avec les souvenirs, quand elle voudrait tout oublier pour ne plus souffrir. Pourtant, son récit n'est pas larmoyant. Le sentiment qui prédomine est l'amour. Sonali nous fait partager son bonheur d'avant le drame. Vikram, la passionné d'oiseaux qui posait sans cesse des questions sur le monde qui l'entourait , Malli, l'artiste toujours joyeux, Steven, rencontré à la fac, son père, avocat austère mais bibliophile averti, sa mère collectionneuse de saris qui se désespérait de son manque de coquetterie, reviennent à la vie lorsqu'elle cesse de s'interdire de penser à eux pour ne pas être submergée par le chagrin. Grâce à eux elle était une mère, une épouse, une fille et depuis leur disparition, elle n'est plus rien que le monstre qui continue à vivre quand tous les autres sont morts. Comment faire son deuil ? Qui pleurer ? Comment continuer, seule ? Ecrire pour se reconstruire, écrire pour guérir, écrire pour garder la trace de ceux qui ne sont plus là, c'est là le choix de Sonali DERANIYAGALA qui livre un témoignage très émouvant, un hommage digne et pudique à sa magnifique famille. Une lecture certes difficile mais éclairée par Vikram et Malli, deux petits garçons curieux de tout, turbulents et joyeux.
Wave
4.3/5
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