Vous dire, en passant...
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- Nombre de pages104
- PrésentationBroché
- Poids0.161 kg
- Dimensions14,8 cm × 21,0 cm × 0,7 cm
- ISBN978-2-322-03885-5
- EAN9782322038855
- Date de parution23/10/2014
- ÉditeurBooks on Demand
Résumé
Des histoires....vécues ? Imaginées ? «Vous dire, en passant...» nous transporte de Provence en Bretagne, de Mistral en Ardennes, de Fayrchet à Villeneuve, de Camargue à Paris et nous invite à bien d'autres rencontres. De surcroît, en annexe, dans le cadre du Centenaire de la Première Guerre Mondiale, des textes pour le moins réalistes en hommage à ceux qui, à Verdun ou ailleurs, ont contribué par leur sang à préserver notre Liberté.
Là où je dormirai, sous la ramée du saule, quiconque passera, par hasard, tout devant, ne saura deviner que la chanson du vent vient bercer mon sommeil ; musique sans paroles. Toi seule, mon aimée, de cette mélodie entendras le refrain, déchiffreras les notes qui te rappelleront notre vie de jadis dans ce bonheur si grand dont nous fûmes les hôtes. Si tu viens déposer sur mon repos paisible quelques fleurs de printemps que tu auras cueillies fais le tranquillement, sans larmes, si possible, je t'ai toujours voulue heureuse, alors souris.
Là où je dormirai, sous la ramée du saule, quiconque passera, par hasard, tout devant, ne saura deviner que la chanson du vent vient bercer mon sommeil ; musique sans paroles. Toi seule, mon aimée, de cette mélodie entendras le refrain, déchiffreras les notes qui te rappelleront notre vie de jadis dans ce bonheur si grand dont nous fûmes les hôtes. Si tu viens déposer sur mon repos paisible quelques fleurs de printemps que tu auras cueillies fais le tranquillement, sans larmes, si possible, je t'ai toujours voulue heureuse, alors souris.
Des histoires....vécues ? Imaginées ? «Vous dire, en passant...» nous transporte de Provence en Bretagne, de Mistral en Ardennes, de Fayrchet à Villeneuve, de Camargue à Paris et nous invite à bien d'autres rencontres. De surcroît, en annexe, dans le cadre du Centenaire de la Première Guerre Mondiale, des textes pour le moins réalistes en hommage à ceux qui, à Verdun ou ailleurs, ont contribué par leur sang à préserver notre Liberté.
Là où je dormirai, sous la ramée du saule, quiconque passera, par hasard, tout devant, ne saura deviner que la chanson du vent vient bercer mon sommeil ; musique sans paroles. Toi seule, mon aimée, de cette mélodie entendras le refrain, déchiffreras les notes qui te rappelleront notre vie de jadis dans ce bonheur si grand dont nous fûmes les hôtes. Si tu viens déposer sur mon repos paisible quelques fleurs de printemps que tu auras cueillies fais le tranquillement, sans larmes, si possible, je t'ai toujours voulue heureuse, alors souris.
Là où je dormirai, sous la ramée du saule, quiconque passera, par hasard, tout devant, ne saura deviner que la chanson du vent vient bercer mon sommeil ; musique sans paroles. Toi seule, mon aimée, de cette mélodie entendras le refrain, déchiffreras les notes qui te rappelleront notre vie de jadis dans ce bonheur si grand dont nous fûmes les hôtes. Si tu viens déposer sur mon repos paisible quelques fleurs de printemps que tu auras cueillies fais le tranquillement, sans larmes, si possible, je t'ai toujours voulue heureuse, alors souris.



