Vers des identités culturelles postfrancophones
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- Nombre de pages278
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.319 kg
- Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-493970-31-2
- EAN9782493970312
- Date de parution15/12/2022
- CollectionEssais
- ÉditeurTraverse(s)
Résumé
Ce livre examine certaines identités culturelles construites à partir de stéréotypes ou de ce qu’on peut appeler la Francophonie politique. Il analyse divers types de mobilités qui, de la traduction à l’exil, de la métamorphose au transfert, caractérisent certaines identités francophones contemporaines, puis se demande comment des communautés culturelles francophones (et parmi elles des écrivaines ou des écrivains) peuvent, notamment en résistant au diktat néocolonial, avoir un impact positif en littérature et au-delà.
La postfrancophonie, c’est d’abord une attitude critique vis-à-vis de la Francophonie, en particulier dans sa version idéologique officielle, parce qu’une telle critique est aujourd’hui nécessaire si l’on veut enfin dissiper la grande ombre coloniale. Cela revient donc aussi à inventer d’autres rapports entre les langues, les cultures, les nations. À écouter la parole de l’autre. De l’Afrique au Québec, de la France au Liban, on cherche ici ce qui peut rendre la postfrancophonie possible.
La postfrancophonie, c’est d’abord une attitude critique vis-à-vis de la Francophonie, en particulier dans sa version idéologique officielle, parce qu’une telle critique est aujourd’hui nécessaire si l’on veut enfin dissiper la grande ombre coloniale. Cela revient donc aussi à inventer d’autres rapports entre les langues, les cultures, les nations. À écouter la parole de l’autre. De l’Afrique au Québec, de la France au Liban, on cherche ici ce qui peut rendre la postfrancophonie possible.
Ce livre examine certaines identités culturelles construites à partir de stéréotypes ou de ce qu’on peut appeler la Francophonie politique. Il analyse divers types de mobilités qui, de la traduction à l’exil, de la métamorphose au transfert, caractérisent certaines identités francophones contemporaines, puis se demande comment des communautés culturelles francophones (et parmi elles des écrivaines ou des écrivains) peuvent, notamment en résistant au diktat néocolonial, avoir un impact positif en littérature et au-delà.
La postfrancophonie, c’est d’abord une attitude critique vis-à-vis de la Francophonie, en particulier dans sa version idéologique officielle, parce qu’une telle critique est aujourd’hui nécessaire si l’on veut enfin dissiper la grande ombre coloniale. Cela revient donc aussi à inventer d’autres rapports entre les langues, les cultures, les nations. À écouter la parole de l’autre. De l’Afrique au Québec, de la France au Liban, on cherche ici ce qui peut rendre la postfrancophonie possible.
La postfrancophonie, c’est d’abord une attitude critique vis-à-vis de la Francophonie, en particulier dans sa version idéologique officielle, parce qu’une telle critique est aujourd’hui nécessaire si l’on veut enfin dissiper la grande ombre coloniale. Cela revient donc aussi à inventer d’autres rapports entre les langues, les cultures, les nations. À écouter la parole de l’autre. De l’Afrique au Québec, de la France au Liban, on cherche ici ce qui peut rendre la postfrancophonie possible.