Maitre de conférences en littérature espagnole et comparée, le Pr Guy Merlin Nana Tadoun est poète et enseigne la poésie à l'École Normale Supérieure de l'Université de Yaoundé 1. Il est auteur de plusieurs florilèges. Vendredi noir à Éséka est son tout premier roman, écrit sous la dictée des charrettes enfumées, par-delà l'obscure clarté jaillie de la douloureuse épreuve de feu ferroviaire.
Vendredi noir à Éséka. Prophétie d’une sérénité hyper-précaire
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- Nombre de pages138
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.146 kg
- Dimensions12,0 cm × 19,0 cm × 0,9 cm
- ISBN978-2-312-08304-9
- EAN9782312083049
- Date de parution30/08/2021
- ÉditeurDU NET
Résumé
Par cette curieuse autobiographie aux accents réels et fictifs, intimes et collectifs, lyriques et métalittéraires, l'auteur nous plonge dans un monde à la fois noble et ignoble, nous promène à travers plaines et peines où, épris de liesse descriptive et de tristesse existentielle, l'on succombe finalement au merveilleux récit de l'hécatombe : métonymie d'un Cameroun à la santé précaire, nostalgique d'un passé prospère et avide d'imminent changement.
Ce roman-chant condense et égrène, en vingt chapitres digestes, l'histoire d'un pays francophone d'Afrique en quête de repères, captif d'une coopération problématique, mais en partie responsable de ses actuelles turpitudes. Devient alors prétexte à [écriture, l'historique accident de train étrangement survenu à Eséka le 21 octobre 2016, au terme d'une folle rumeur officiellement démentie, mais froidement consentie par le destin.
Ce roman-chant condense et égrène, en vingt chapitres digestes, l'histoire d'un pays francophone d'Afrique en quête de repères, captif d'une coopération problématique, mais en partie responsable de ses actuelles turpitudes. Devient alors prétexte à [écriture, l'historique accident de train étrangement survenu à Eséka le 21 octobre 2016, au terme d'une folle rumeur officiellement démentie, mais froidement consentie par le destin.
Par cette curieuse autobiographie aux accents réels et fictifs, intimes et collectifs, lyriques et métalittéraires, l'auteur nous plonge dans un monde à la fois noble et ignoble, nous promène à travers plaines et peines où, épris de liesse descriptive et de tristesse existentielle, l'on succombe finalement au merveilleux récit de l'hécatombe : métonymie d'un Cameroun à la santé précaire, nostalgique d'un passé prospère et avide d'imminent changement.
Ce roman-chant condense et égrène, en vingt chapitres digestes, l'histoire d'un pays francophone d'Afrique en quête de repères, captif d'une coopération problématique, mais en partie responsable de ses actuelles turpitudes. Devient alors prétexte à [écriture, l'historique accident de train étrangement survenu à Eséka le 21 octobre 2016, au terme d'une folle rumeur officiellement démentie, mais froidement consentie par le destin.
Ce roman-chant condense et égrène, en vingt chapitres digestes, l'histoire d'un pays francophone d'Afrique en quête de repères, captif d'une coopération problématique, mais en partie responsable de ses actuelles turpitudes. Devient alors prétexte à [écriture, l'historique accident de train étrangement survenu à Eséka le 21 octobre 2016, au terme d'une folle rumeur officiellement démentie, mais froidement consentie par le destin.