Ce n'est pas la folie qui mène le monde - on pourrait lui pardonner - mais l'imposture. L'imposture de tous les pouvoirs. Ce roman historique est un cri d'effroi.
Ce n'est pas la folie qui mène le monde - on pourrait lui pardonner - mais l'imposture. L'imposture de tous les pouvoirs. Ce roman historique est un cri d'effroi.