Un air de déjà-vu

Par : Dimitri Beltchikov
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  • Nombre de pages60
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.126 kg
  • Dimensions14,8 cm × 21,0 cm × 0,0 cm
  • ISBN979-10-203-7020-4
  • EAN9791020370204
  • Date de parution09/04/2024
  • ÉditeurBaudelaire

Résumé

"Le jeune homme sourd qui écoutait son coeur. Il était une fois un garçon nommé Andrea qui vivait à la frontière entre la Suisse et l’Italie. Mais il ne savait pas qu’il s’appelait ainsi, car il était sourd de naissance. Il savait qui il était à un niveau plus profond. Il existait. Sa passion était de sculpter le bois. Il dédiait ses journées à la sculpture, au sport et à la contemplation. Il aimait sa famille et ses quelques amis.
Il aimait une fille dont il ignorait le nom, mais dont il connaissait l’âme. Il parlait avec les mains et surtout avec son regard. Incompris de la majorité, il vivait une vie heureuse. Il en fallait si peu pour être heureux. (…). Les parents et les grands-parents d’Andrea venaient de coins du monde totalement différents. Andrea avait des origines italiennes, hollandaises, suédoises, russes et françaises.
Il n’était pas allé à l’école. Ses parents lui avaient appris à communiquer avec les mains dès l’âge de deux ans. Andrea était un enfant calme et très souriant. Il était silencieux. Il sentait son corps et la vie qui coulait telle une rivière en lui. Malgré les années qui passaient, son regard restait le même. Un regard mystérieux et émerveillé. Un regard enfantin que tant de personnes perdent en grandissant".
"Le jeune homme sourd qui écoutait son coeur. Il était une fois un garçon nommé Andrea qui vivait à la frontière entre la Suisse et l’Italie. Mais il ne savait pas qu’il s’appelait ainsi, car il était sourd de naissance. Il savait qui il était à un niveau plus profond. Il existait. Sa passion était de sculpter le bois. Il dédiait ses journées à la sculpture, au sport et à la contemplation. Il aimait sa famille et ses quelques amis.
Il aimait une fille dont il ignorait le nom, mais dont il connaissait l’âme. Il parlait avec les mains et surtout avec son regard. Incompris de la majorité, il vivait une vie heureuse. Il en fallait si peu pour être heureux. (…). Les parents et les grands-parents d’Andrea venaient de coins du monde totalement différents. Andrea avait des origines italiennes, hollandaises, suédoises, russes et françaises.
Il n’était pas allé à l’école. Ses parents lui avaient appris à communiquer avec les mains dès l’âge de deux ans. Andrea était un enfant calme et très souriant. Il était silencieux. Il sentait son corps et la vie qui coulait telle une rivière en lui. Malgré les années qui passaient, son regard restait le même. Un regard mystérieux et émerveillé. Un regard enfantin que tant de personnes perdent en grandissant".
Un air de déjà-vu
Dimitri Beltchikov
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