"Il existe des femmes qui portent le rouge à lèvres comme d'autres arborent une médaille. Eugénie Poret-Petrucci, elle, en fait un manifeste". (Gérard Ostermann) Ces traces parlent des petites touches qui recouvrent parfois le tragique des existences avec le rouge de la vie qui appelle, qui marque, qui séduit, qui veut résister à l'inhumanité. Préface de Gérard Ostermann, professeur de thérapeutique et médecin interniste, postface de Saül Karsz, philosophe, sociologue.
"Il existe des femmes qui portent le rouge à lèvres comme d'autres arborent une médaille. Eugénie Poret-Petrucci, elle, en fait un manifeste". (Gérard Ostermann) Ces traces parlent des petites touches qui recouvrent parfois le tragique des existences avec le rouge de la vie qui appelle, qui marque, qui séduit, qui veut résister à l'inhumanité. Préface de Gérard Ostermann, professeur de thérapeutique et médecin interniste, postface de Saül Karsz, philosophe, sociologue.