Tant de nuits à rêver de ténèbres

Par : Christian Labazée

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  • Nombre de pages294
  • PrésentationBroché
  • Poids0.342 kg
  • Dimensions15,0 cm × 23,0 cm × 1,3 cm
  • ISBN978-2-312-06266-2
  • EAN9782312062662
  • Date de parution24/10/2018
  • ÉditeurDU NET

Résumé

Que faire durant ses heures d'insomnie, propices à l'analyse, l'introspection, aux remords et aux regrets, aux espoirs fous et aux rêves déraisonnables ? Que faire, sinon suivre le déroulement d'un écheveau de visions mélancoliques qu'on pourrait croire sorties d'un kaléidoscope halluciné, et convoquer les mots pour traduire celles-ci de manière personnelle, et peut-être même un peu poétique ? Observant sans indulgence sa difficulté à se fondre dans un monde déserté par la délicatesse, l'auteur met en scène, dans des sarabandes hypnotiques et d'un pessimisme lucide, des thèmes indiscutablement romantiques et marqués par un spleen profond : l'Amour, la Femme, l'Homme, la place du Rêve, le Monde visible et invisible, et bien sûr la Mort dont il a pu dire, dans une interview récente à la Monmouthshire Review of Proto-Aristotelian Philosophy, que "la voir comme une fin en soi risquait fort de se révéler amèrement décevant" .
Que faire durant ses heures d'insomnie, propices à l'analyse, l'introspection, aux remords et aux regrets, aux espoirs fous et aux rêves déraisonnables ? Que faire, sinon suivre le déroulement d'un écheveau de visions mélancoliques qu'on pourrait croire sorties d'un kaléidoscope halluciné, et convoquer les mots pour traduire celles-ci de manière personnelle, et peut-être même un peu poétique ? Observant sans indulgence sa difficulté à se fondre dans un monde déserté par la délicatesse, l'auteur met en scène, dans des sarabandes hypnotiques et d'un pessimisme lucide, des thèmes indiscutablement romantiques et marqués par un spleen profond : l'Amour, la Femme, l'Homme, la place du Rêve, le Monde visible et invisible, et bien sûr la Mort dont il a pu dire, dans une interview récente à la Monmouthshire Review of Proto-Aristotelian Philosophy, que "la voir comme une fin en soi risquait fort de se révéler amèrement décevant" .