Souvenirs de la campagne de Russie (1812) d'un lieutenant suisse. Fragments présentés par Alain Chardonnens

Par : Georges Demierre

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  • Nombre de pages148
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.228 kg
  • Dimensions15,0 cm × 22,0 cm × 0,0 cm
  • ISBN978-3-8417-9890-9
  • EAN9783841798909
  • Date de parution30/04/2012
  • CollectionOMN.UNIV.EUROP.
  • ÉditeurUniv Européenne

Résumé

La campagne de Russie de 1812 a été un désastre militaire, politique et surtout humain. Quelles sont les raisons qui ont poussé l'Empereur Napoléon à envahir la Russie ? Combien de soldats suisses ont-ils pris part à cette tragédie ? Combien d'entre eux en sont-ils revenus vivants ? Cette étude tente de répondre à ces questions en présentant les fragments des souvenirs de Georges Demierre, officier originaire d'Estavayer, en Suisse.
Georges Demierre évoque les horreurs de cette campagne : le froid, la faim, le harcèlement incessant des Cosaques. S'il n'a pas participé à la prise de Moscou, il a en revanche combattu les Russes lors des deux batailles de Polotsk. De plus, lors de la terrible retraite, il croise le chemin de Napoléon Ier, dont le pouvoir est contesté à Paris. La fin de l'Empire est proche et Georges Demierre est le témoin de cette retentissante défaite.
La campagne de Russie de 1812 a été un désastre militaire, politique et surtout humain. Quelles sont les raisons qui ont poussé l'Empereur Napoléon à envahir la Russie ? Combien de soldats suisses ont-ils pris part à cette tragédie ? Combien d'entre eux en sont-ils revenus vivants ? Cette étude tente de répondre à ces questions en présentant les fragments des souvenirs de Georges Demierre, officier originaire d'Estavayer, en Suisse.
Georges Demierre évoque les horreurs de cette campagne : le froid, la faim, le harcèlement incessant des Cosaques. S'il n'a pas participé à la prise de Moscou, il a en revanche combattu les Russes lors des deux batailles de Polotsk. De plus, lors de la terrible retraite, il croise le chemin de Napoléon Ier, dont le pouvoir est contesté à Paris. La fin de l'Empire est proche et Georges Demierre est le témoin de cette retentissante défaite.
Nommé capitaine en 1816, Georges Demierre (1781-1852) a servi Napoléon et les Bourbons. Il a laissé des souvenirs de ses campagnes napoléoniennes. Alain Chardonnens, maître de didactique de l'histoire et enseignant-formateur à l'Université de Fribourg (Suisse), a publié les fragments des mémoires de l'officier fribourgeois.