Sociologie comparée du cannibalisme. Tome 2, La consommation d'autrui en Asie et en Océanie
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- Nombre de pages410
- PrésentationBroché
- Poids0.588 kg
- Dimensions15,0 cm × 21,7 cm × 2,2 cm
- ISBN978-2-13-059166-5
- EAN9782130591665
- Date de parution01/02/2012
- ÉditeurPUF
Résumé
Un poncif persistant voudrait que le cannibalisme résulte avant tout d’un « manque » de contrôle social. Mais chaque culture pense à sa manière les débordements admissibles et les transgressions intolérables. Et elle anticipe des réponses qui lui paraissent appropriées à des crises prévisibles. Face aux rituels minutieusement organisés de la chasse aux têtes, l’anthropophagie représente alors une modalité variable et changeante d’affronter le désordre.
Ce deuxième volume traverse une partie du monde où la consommation d’autrui prend les formes les plus diverses : depuis la prédation coutumière qui limite la violence entre sociétés égalitaires à quelques jaillissements inattendus au sein d’États soumis à des désarrois exceptionnels. En passant par le chef terrible qui devient surnaturel en accumulant les festins mais ne parvient jamais à s’ériger en souverain légitime.
Ce deuxième volume traverse une partie du monde où la consommation d’autrui prend les formes les plus diverses : depuis la prédation coutumière qui limite la violence entre sociétés égalitaires à quelques jaillissements inattendus au sein d’États soumis à des désarrois exceptionnels. En passant par le chef terrible qui devient surnaturel en accumulant les festins mais ne parvient jamais à s’ériger en souverain légitime.
Un poncif persistant voudrait que le cannibalisme résulte avant tout d’un « manque » de contrôle social. Mais chaque culture pense à sa manière les débordements admissibles et les transgressions intolérables. Et elle anticipe des réponses qui lui paraissent appropriées à des crises prévisibles. Face aux rituels minutieusement organisés de la chasse aux têtes, l’anthropophagie représente alors une modalité variable et changeante d’affronter le désordre.
Ce deuxième volume traverse une partie du monde où la consommation d’autrui prend les formes les plus diverses : depuis la prédation coutumière qui limite la violence entre sociétés égalitaires à quelques jaillissements inattendus au sein d’États soumis à des désarrois exceptionnels. En passant par le chef terrible qui devient surnaturel en accumulant les festins mais ne parvient jamais à s’ériger en souverain légitime.
Ce deuxième volume traverse une partie du monde où la consommation d’autrui prend les formes les plus diverses : depuis la prédation coutumière qui limite la violence entre sociétés égalitaires à quelques jaillissements inattendus au sein d’États soumis à des désarrois exceptionnels. En passant par le chef terrible qui devient surnaturel en accumulant les festins mais ne parvient jamais à s’ériger en souverain légitime.